Londres-1899  

Margareth (Sarah Kantelinen), est une jeune vagabonde qui passe son temps à airer dans la ville de Londres. Elle aime être libre et prendre son temps. Un soir d'hiver, alors qu'il pleut, Margareth cherche un endroit où s'abriter. Elle décide d'entrer dans le cimetière où elle trouvera peut être la tombe de sa sœur jumelle morte treize ans plus tôt. Depuis son décès, elle n'a point fait son deuil et n'a jamais eu la force de venir la voir. Elle finit par trouver la sépulture en l'honneur de Victoria Pierce, morte du choléra. Elle repense au jour où le repos à commencer. Le repos, c'est comme ça que ses parent l'appelait. Elle repense à tout ce que sa sœur aurait pu faire, elle était brillante. Mais ces quelques larme ne feront que désopiler Satan, alors elle sèche ses larme, recule et finit par s'en aller. Sur le chemin qui la mène au Pont ferroviaire, Blackfriars Railway, elle s'arrête devant un mausolée, le contemple et décide d'y rentrer. À l'intérieur il ne fait pas forcément plus chaud mais l'eau ne l'embarrasse plus. Elle décide finalement d'y passer la nuit. La jeune femme, se pose sur le mur, et se laisse glisser contre le sol. Et alors qu'elle commence à s'endormir, elle sent des mains la caresser. Elle pense être dans un rêve mais tout d'un coup les mains commencent à l'agripper. Elle tente de se lever, mais rien à faire, les main la maintiennent au sol. Elle se débat, mais elle n'a plus de force. Elle hurle. Les mains semblent l'apporter vers le fond, elles l'entèrent... Margareth comprend qu'elle ne peut plus rien et se laisse ensevelir. La terre qui la soutenait, s'effondre brusquement.  

Quelques heures plus tard, Margareth se réveille. Un air frais souffle. Elle se lève, et se rend compte de ce qui l'entoure. Des murs de pierres semblant soutenir une masse excessivement lourde. Le sol n'est qu'un amas de poussière. Et devant elle, une porte. La porte est aussi en pierre. Margareth ne comprend rien, elle ne sait rien. Sans réfléchir elle se précipite vers la porte, tente de l'ouvrir mais n'y arrive pas. Soudain, elle entend une voix, peut être deux, les voix se rapprochent. Machinalement, elle s'empresse de retrouver son emplacement d'origine. La porte s'ouvre et une dizaine d'hommes(dont Jean Dupont)portant tous une cape et un masque pénètrent dans la pièce...