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Metamorphose 3 Generation présente
LA SAGA - Serial Killer

Ch'ais plus trop comme c'm'est venu... En tout cas, j'me sens mieux depuis... Depuis qu'zigouille deux/trois crétins par mois, ça m'soulage les doigts... Et puis, fait bien l'dire, ça entretien l'corps... Passer cinquante balais, l'exercice physique s'impose...  

 

J'm'appelle Freddy... Un gars normal, un peu renfermé certes mais jovial selon les habitants d'mon village... R'marquez, la campagne ça adouci les moeurs... Mais, l'problème, c'est qu'on s'y emmerde légèrement sur les bords... Alors, l'week, j'met ma twingo direction la grande ville d'a-côté et forcément ça m'titille...  

 

La ville, y a pas a dire, c'est peuplé d'gens bizarres... Entre les déchets humains qui mendient pour s'acheter d'la vinasse, les vieux qui t'zyeute sur les bancs, la jeunesse qui défile comme sur un podium de Jean-Paul Gautier... J'vous dis pas, qu'des cinglés...  

 

J'me rappelle bien d'ma première prise... C'était un clochard d'vant l'Monop... Il s'tapait des délires en parlant de Lady Diania, qu'il l'avait bien connu et qu'les martiens l'avaient enlevé... Fallait l'soulager autrement que par la vinasse c'pôvre homme... Il a pas fait d'histoire et il m'a suivi comme un mouton au bord du fleuve... Il s'faisait tard et j'étais tranquillos... J'lui ait serré l'kiki et sa gueule est d'venu encore plus rouge... Un vrai miracle... Y avait plus qu'à l'poussé dans la baille...  

 

Là, j'suis ma trente-sixième proie... Elle tortille sévère du derche, à croire qu'elle a l'feu dans l'trou du cul... Même pas dix-huit ans et ça joue la pute de luxe avec son sac Dior... Faut qu'soulage l'porte monnaie d'ses vioques... J'lui serrerais bien l'kiki aprés lui faire croire qu'j'la violerai... Dans un sens, elle serra rassurée de seulement mourrir... Seulement, j'sais pas si suis assez salaud pour ça...  

 

Bizarrement, elle n'a pas crié la pute de luxe... Faut dire, qu'j'avais pas osé lui mentir... Dire, qu'j'la violerais, j'trouvais ça méchant... Quand j'lui ait serré l'kiki, sa main a lâché son sac Dior au sol... Un rouge à lêvre en est sorti ainis qu'un préservatif... Comme quoi...  

 

C'était la trente-sixième et bizarrement, ça n'm'avait pas détendu... J'voulais déjà en étrangler un autre... Un bien salaud, un type d'la ville quoi... J'sentais bien qu'j'me maîtrisais moins.... La pute de Luxe, j'l'avais zigouillé dans la cage d'escalier d'ses vioques... Ou d'son p'tit copain...  

 

Quand j'suis resorti dans la rue, j'étais en sueur... Fallait tout d'suite trouvé une solution... Elle a pas été longue à s'profiler... Son visage était banal, ses vêtements passe partout, l'type d'secrétaire soumise... Mais ses ch'veux était couleur blé... Ca m'rapellait mon bled et ça f'sait du bien... J'suis sûr qu'en plus j'étais son type d'homme...  

 

J'l'ai suivi... Et plus ça on avançait ensemble, plus l'envie d'l'étrangler montait... ca m'foutait un sacré mal de tête...  

 

J'l'ai égorger d'un coup sec... Ca m'a pris comme ça... J'pouvais plus m'tenir... Fallait me comprendre, c'était tentant, dans cette ruelle sombre, qui sentait la pisse... Et déserte... J'l'ai attrapé par le colbac et jeter contre l'mur... Puis, j'ai serré... Serré... Jusqu'à avoir mal aux mains... Quand j'ai lâché prise, elle s'est effondrée comme un pantin contre la poubelle... Ca allait rud'ment mieux...  

 

J'suis allé m'en jeter un derrière le gosier au café d'la mairie... Et j'l'ai vu... Ma prochaine proie... Elle ressemblait aux Pom Pom Girls quand j'jouait dans l'équipe de basket du village... D'ailleurs, mon père était fière de moi, en ce temps là... Avant qu'un cancer de l'estomac l'terrasse... Après, pour sûr, il m'a plus foutu d'baffe... Mais, c'est clair qu'ça manquait...  

 

La fille, elle était ultra-vulgaire... Ca m'excitait... Faut qu'j'vous dise, que pour un puceau comme moi, elle représentait la femme fatale... J'm'suis dit qu'elle était spéciale, et qu'elle méritait plus que d'être seulement égorger... J'm'suis dit qu'j'étais assez salaud pour dire qu'j'la violerai... Et puis ce coup-ci, ce sera le bon...  

 

Dans mon for intérieur, j'hurlai...  

 

C'est sür... J'allais mieux...  

 

J'voulais vraiment enfin être un méchant... Plus un peureux, qu'égorge vite fait bien fait la salope qui m'avait fait triper... J'voulais la voir geindre cette traînée, qui ressemblait aux Pom-Pom-Girls d'mon enfance... J'voulais prendre mon temps, la faire souffrir, abuser d'elle... Avant d'l'envoyer en enfer...  

 

Mais ça c'est pas vraiment passé comme ça... j'y suis allez franco avec mon plan démoniaque... J'me suis assis en face d'elle au café d'la mairie... J'voulais la séduire ou lui foutre les chocottes... Chais plus trop... Enfin, j'voulais la préparer, la mettre en appêtit, qu'elle parte avec moi pour qu'après... Qu'après, ce soit l'feux d'artifice...  

 

Mais face à elle, j'ai eu les mauvaises manies qui m'ont r'pris... Ma queue a enflé directos dans l'calbut et la langue pendu, savait plus quoi dire... Mon cerveau partait dans tous les sens, mon coeur pulsait grave la chamade... Et elle en face de moi, qui rigolait... Le prenait sur l'ton d'la légère, genre t'es pas l'premier... Chais qu'j'fais kiffer grave les hommes murs... Qu'on dirais qu't'a pas vu d'femmes depuis des plombes...  

 

J'ai perdu pied... C'est elle qui m'nait la danse... Elle m'a pris la main et on est sorti du café... Ca entrait pas du tout dans mes plans... J'm'suis même dit que quitte a faire, autant l'égorger vite fait bien fait dans la rue... Y avait du monde mais MERDE... Fallait bien qu'ça s'finisse... Mais elle avait des arguments : sa paire d'loches s'balladait dans son soutif vu qu'on marchait vite... Et puis j'bandais encore plus fort vu qu'elle m'tenait toujours la main...  

 

Quand on a monté l'escalier, elle est passé d'vant... Un cul j'vous dit pas... Savais plus où j'en étais... J'voulais la violer, puis l'égorger... Bref, plus être puceau... Et c'est elle qui m'voulait... A peine arriver, elle s'est déshabiller et ma prise la main qu'elle a ammené directos sur ses seins... Dans mon calbut, j'ai tout lâché...  

 

Pour m'faire v'nir au pieu, elle m'a dit deux ou trois trucs salaces... Genre qu'elle aimait bien les hommes âgés... Qu'elle me f'rait jouir et qu'elle était gourmande... J'étais en transe et j'savais plus vraiment c'qu'j'faisais...  

 

Quand j'l'ai pénétré, j'ai commencé a serré son cou... Et elle a dit plus fort, j'veux jouir moi aussi... Alors, crescendo, j'l'ai bourré plus fort... Et j'ai serré son cou plus fort...  

 

L'émotion était trop intense... J'ai joui et l'sommeil m'a pris d'un coup...  

 

Quand je m'suis réveillé, j'étais ligoté au pieu... En face de moi, celle qui m'rappelais la pom pom girl de mon enfance souriait en fumant une clop... Raffinée... Comme l'était son plan pour m'séquestrer... Clair qu'on était pas du même bord, moi j'égorgeais, elle elle ligotais...  

 

Ah la p'tite salope... Si j'avais su qu'j'allais atterir dans d'sales draps... M'enfin, elle m'avait fait jouir... L'sperme avait sécher sur ma cuisse... Le baillon dans la gueule, j'pouvais même pas lui dire ma manière d'voir les choses à cette traînée...  

 

D'ailleurs, elle a quitté la piaule... J'ai trouvé l'temps long en tentant d'enlever mes liens... Quand elle est revenue, j'étais en sueur... Elle a rigolé... Moi moins, car j'voyais clairement son couteau...  

 

P'tain... Moi, l'Serial Killer, l'égorgeur hors paire, j'pouvais pas finir comme ça éventré par une nymphomane... J'savais pas comment j'allais m'en sortir mais une chose était sûre, toute des putes... Même ma mère... Et c'est pas mon père qui dirait l'contraire...  

 

Quand elle a levé l'couteau en marmonnant des phrases incompréhensibles, j'cru qu'j'allais y passer... J'pensais à la trentaine de gus, surtout des p'tites salopes, qu'j'avais étranglés... Tout ça pour ça... Pour finir un couteau dans l'bide à cause d'une déglinguos du cerveau... J'la maudissais... J'méritais une plus belle fin qu'ça... Genre abattu par le GIGN...  

 

Et puis, tant de haine fait qu'j'étais tendu comme un arc... Mon p'tit oiseau s'est durcit... Alors qu'la nana qui ressemblait à la pom pom girl d'mon enfance allait m'trucider, elle l'a vu et a lacher son couteau pour s'en saisir... Allure de pom pom girl, mais elle devait avoir du talent à la pétanque... Elle savait clairemnt s'y prendre avec les boules...  

 

A croire qu'elle voulait m'user avant d'm'abattre comme un chien... Quand mon p'tit oiseau est entré en elle, c'est clair qu'elle simulait pas... On aurait dit qu'on entrait dans une piscine à eau bouillante... Dès les premières coups d'burrin, mon baillon s'est détaché... Alors j'ai joué l'tout pour l'tout car j'ai alors bien compris qu'on était tout les deux aussi givré l'un qu'l'autre...  

 

J'lui ai proposé qu'on zigouille nos congénères à deux... Moi, j'égorgerais les femmes... Elle truciderait les hommes... On baiserait comme des chiens en chaleur le reste du temps...  

 

Faut croire qu'ça lui a plu... Elle m'a détaché pour qu'j'la prenne de dos... Pendant qu'j'la pénétrais, j'm'disais qu'c'était quand même risqué d'lui faire confiance... Et si j'lui serrais l'kiki maintenant...  

 

Elle aurait pas l'temps d'prendre l'couteau qu'était par terre près du pieu...  

 

Elle avait un nom, celle qui ressemblait à la Pom-Pom-Girl de mon enfance... Celle qu'j'voulais étrangler... Celle qui voulait m'trucider... Celle avec qui on allais killer à tour de bras... Natacha...  

 

Natacha, elle savait y faire...  

 

J'parle pas seulement d'son coup de couteau qui visait toujours juste... En plein dans l'coueur, dans la carotide ou au milieu du front... Toujours sans trembler et en souriant face à la victime...  

 

J'm'rappelle de notre premier coup double... On s'paluchait sur un banc public quand on a vu passer une nana et un mec triste comme un caniveau... On les a suivi et on les a serré dans leur maison même... J'ai étrangler tranquillos presto la d'moiselle sur son canapé... Par derrière, j'aime toujours mieux... J'imagine ses yeux plein d'effroi... Natacha, elle n'était pas encore passé à l'action... J'l'ai regardé faire d'loin... Elle s'est planté face au gus et lui a souri... L'mec, il r'gardait clairement l'décolleté d'ma Natacha... Et elle en a joué... L'con, il est venu contre elle pour lui p'loter les seins... C'est un couteau qui l'a accueilli dans l'dos, contre les deux homoplates...  

 

C'tte après'm là, on a baiser comme des lapins sur l'sofa... Natacha avait un sacré déhanché et, d'ce côté là, elle savait drôlement y faire... Quand j'ai joui, j'ai enfin r'gardé le regard d'la donzelle qu'j'avais trucidé et qui était allongé au sol... Elle avait l'air surprise...  

 

Pas autant qu'moi quand j'ai vu qu'ma Natacha a pris son couteau et a lézardé l'corps sans défense d'la donzelle...  

 

On n'était pas peu fier... On f'sait la une des journaux... On nous surnommait l'étrangleur et l'poignardeur... L'inspecteurriendansleciboulot nageait dans la panade... Nous, on rigolait... Et on baisait sans cesse plus hardemment et on tuait encore plus souvent...  

 

Faut l'dire, j'soufflait comme un boeuf pour t'nir la cadence... Egorger une nana pas jour, ça m'fatiguait... Mais moins que pénétrer ma Natacha une bonne dizaine de fois dans la journée...  

 

J'sais pas comment elle faisait la Natacha mais elle était plus forte qu'moi... C'est clair... Maintenant, quand j'égorgeais une nana vite fait rapido, je la voyait bien qu'un mec poignardé par jour lui suffisait pas... Elle voulait des heures sup...  

 

Et au pieu c'était pareil... j'arrivais pas a suivre... La natacha était obligée de s'finir avec l'envers du couteau... J'avais toujours peur qu'elle s'blesse alors, j'reprenais une dose de Viagra pour l'envoyer au nirvana...  

 

Les semaines passaient... Les cadavres derrière nous et le foutre un peu partout dans les piaule d'hôtel, j'sentais qu'ça commençait à m'lasser cette vie de serial killer et serial baiseur...  

 

Mais que faire...  

 

J'm'rappelle bien... C'est l'jour où j'ai égorgé une p'tite taspé, genre seize ans, qui d'vait être une sacré chaudasse au Lycée... Ca avait pas été bien dure de l'amener dans un motel... J'l'avais fait picolé, j'lui avait offert des nippes et elle avait écarté les cuisses... J'suis fidèle moi... j'ai même pas bandé, jl'ai même pas pénétré... Juste serré l'kiki...  

 

J'étais là dans la piaule du motel quand Natacha est entrée... Elle allait super bien ma Natacha... Elle avait mis des coups d'couteau dans l'bide d'une compagnie d'pompier alléché par ses gros lolos et voulant s'servir d'ses orgasmes... Sans doute pour éteindre un incendie car ma Natacha elle y allait dui côté d'la femme fontaine...  

 

Après la baise, j'lui ait tout dit... Qu'jpouvais pas continuer ainsi... Qu'j'avais trop égorgé... Qu'j'avais trop baiser... Qu'j'voulais rejoindre mon père au Paradis... Qu'j voulais un suicide qui en jette...  

 

Ma Natacha, elle s'est pas dégonflée... Elle a proposé un suicide en amoureux... Moi qui lui serrerait l'kiki et elle qui m'foutrait des coups d'couteau dans l'bide...  

 

On s'est bourré la gueule pour s'donner du courage... Moi plus qu'elle... J'm'suis enfiler quelques shoot d'héroi pour m'rendre plus fort... Pas elle...  

 

Et puis, sur l'pieu on a commencé... J'ai commencé à lui serré l'kiki... Elle m'a fait une entaille dans l'gras du bide... Et puis, d'un coup, ma Natacha s'est énervé comme une tigresse... Ele a levé l'couteau et l'a rentré dans mon coeur... Puis, a moitié dans les paumes, j'l'ai vu qui m'frappait à la carottide puis dans les poumons....  

 

J'avais depuis longtemps cessé d'lui serré l'kiki...  

 

Et dans mon agonie, j'm'suis dit qu'j'm'étais fait avoir par Natacha, celle qui r'ssemblait à la Pom Pom Girl d'mon enfance...  

 

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Venez revivre la saga 100% thriller de Metamorphose Generation avec Basil Duval et Eva Leiter !  

La saga évènement de 2038 grâce à une écriture mécanique !

Scénario :
une série A thriller de Donovan Gorman

Basil Duval

Eva Leiter

Benjamin Elwood

Amandine Timig
Avec la participation exceptionnelle de Lucille AuxDeuxMelons, John Dollars
Musique par Alice Julyan
Sorti le 28 août 2038 (Semaine 1756)
Entrées : 12 437 947
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