1er juillet 1756, France, Louis se promène seul dans la forêt de la femme en blanc, selon une légende urbaine ce bois serait hanté par l'esprit d'une femme toute habillée de blanc, n'y croyant pas il décida de passer à travers pour rejoindre le village plutôt que de faire le grand tour, ça lui permettra de gagner une heure ...  

Louis marche depuis 30 minutes quand il entend courir derrière lui, il se retourne et à son grand étonnement ne voit rien ni personne puis il entend rire derrière lui, il se retourne le plus rapidement possible mais rien ni personne, Louis est en stress, il entend courir autour de lui mais les arbres du bois l'empêche de voir quoique ce soit, puis il n'entend plus rien, il attend, aux aguets, les minutes passent, Louis décide de repartir mais à peine a-t-il reprit la route qu'il entend courir derrière lui, il se retourne et a à peine le temps d'apercevoir quelque chose de blanc quand il est plaqué à terre par une violente force, il a le souffle coupé, tout d'un coup il est trainé, il crit mais il ne le sait que personne ne peut l'aider, jamais personne ne va dans ce bois, il est trainé hors du chemin puis est laissé dans une clairière, il se relève mais est projeté contre un arbre, une force invisible l'empêchje de bouger, il apreçoit une femme habillée de blanc qui le regarde fixement avant de disparaître, Louis a peur il n'aurait jamais du entrer dans ce bois, il se met à réciter des prières envers Dieu quand sa langue est arrachée, il ne peut pas crier mais la douleur est tellement forte qu'il ne peut pas en pleurer, une femme habillée de blanc apparaît devant lui, "Il ne peut pas t'aider, tu est à moi !" puis se jette sur lui ...  

1er juiller 1757, Antoine se réveille en sursaut en criant, ça fait un an jour pour jour qu'il voit son frère entrer dans ce bois maudit et se faire agresser chaque nuit, il frotte ses yeux, tout d'un coup une vive douleur se faire ressentir dans son bras droit, il ne peut rien faire d'autre que frotter l'énorme cicatrice qui longe tout le bras, du poignet à l'épaule, cette cicatrice il la doit à un loup garou qui l'a trainé sur 500 mètres avant qu'il ne lui enfonce son épée en argent dans l'oeil de la bête, le loup garou de Sedan, voilà comment on le surnommait, heureusement que c'est avec la patte qu'il a fait cette cicatrice est non avec les dents sinon il en serait devenu un, Antoine se lève, s'habille, prend son épée en argent puis sort dehors, à peine sorti il croise Marie, celle qu'il aime, il l'aime depuis l'enfance mais n'a jamais eu le courage de le lui dire, Marie avance vers lui, l'embrasse sur la joue en signe de bonjour, voyant que le bras droit d'Antoine tremble elle lui demande si il a était voir la guérisseuse du village pour qu'elle lui donne un remède contre ce mal, il dit que non et lui promet d'y aller après Marie lui ordonne d'y aller tout de suite, Antoine se met à rire et lui dit qu'il ira tout de suite, Marie le regarde d'un regard transperçant, Antoine ne peut que remarquer son magnifique regard, "Je vais t'y accompagner tout de suite" déclare Marie, Antoine proteste mais il le sait très bien qu'il ne pourra lui faire changer d'avis, il se restreint d'accepter, sur le chemin il croise Gustave, son cousin, valeureux guerrier tout comme lui qui chasse les démons et autres créatures des ténèbres, il lui manque un doigt à la main gauche après qu'il se soit battu avec une goule qu'il a fini par tuer, il parlèrent vivement puis reprirent chacun leur route, enfin arriver devant la bâtisse de la guérisseuse, Marie lui déclare qu'elle attendra ici qu'il sorte, Antoine entra, il vit une femme, la trentaine, ayant une grande beauté derrière un comptoir.  

-"Bonjour jeune homme, que puis-je faire pour toi ?"  

Pile à ce moment une douleur secoua Antoine, son bras se remit à trembler, plus fort cette fois-ci.  

-"Je vois, venez avec moi dans la pièce d'à côter et enlevez votre haut."  

Antoine suiva la guérisseuse, il se déshabilla et montra son bras, lorsque la guérisseuse le toucha elle se mit à trembler, elle semblait être possédée, le jeune homme se demanda quoi puis elle redevint normal, elle était essoufflée ...  

-Mon nom est Alizia, je suis du royaume de Zertluz, ça fait un moment que je t'attends Antoine, oui je sais comment tu t'appelles, je suis une voyante en plus d'être guérisseuse, j'ai vu ton passé, ton présent et ton avenir."  

-"C'est quoi que ce délire là ? Alizia c'est ça ? Vous avez vu mon passé mon présent et mon avenir hein, bien, pour être sûr que vous n'essayez pas de me faire une mauvaise blaqgue dites moi deux choses de mon passé !"  

-"Ton frère Louis s'est fait attaquer il y a un an jour pour jour par la dame blanche de ce bois maudit et tu dois cette cicatrice à un loup garou qui t'a trainé sur 500 mètres, heureusement il ne t'a pas mordu, tu l'as tué en lui enfonçant ton épée en argent dans son oeil."  

Antoine était bouche bée, il n'en revenait pas.  

" Je vais devoir te donner un remède pour soigner ton bras, tu va t'endormir et tu te réveillera dans une heure, elle passera vite ne t'en fais pas"  

Alizia prit un verre dans lequel mijoté une drôle de potion couleur orange feu, elle le donna à Antoine qui le buva avec un peu d'hésitation, il plongea dans un profond sommeil.  

Antoine se réveilla en sursaut en criant, il avait encore vu son frère se faire agresser par la dame blanche du bois, il aimerait venger son petit frère mais il a promit à Marie et sa mère de ne pas y aller, Alizia entra dans la pièce, elle lui annonça qu'un loup garou a attaquer le village, tuant 8 villageois et enlevant Marie, le jeune homme fut prit de rage et hurla, son cousin entra dans la pièce, il annonça qu'à deux ils iraient tuer ce loup garou.  

-"C'est votre destin de sauver Marie mais ce loup garou n'est pas n'importe qui, c'est celui de la dame blanche, elle a fait enlever Marie pour qu'elle puisse prendre possession de son corps, cela fait 100 ans qu'elle hante le bois et selon la légende après 100 ans elle enlèverai une jeune femme au coeur pur pour en prendre possession, selon la légende cette jeune femme est celle que l'élu qui doit la tuer aime"  

Antoine et Gustave se regardèrent, "Allons botter le cul de cette salope"