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MiklProd présente
Complicité

Je me présente, je m’appelle Sonia (Diane Black) et cela fait trois mois que je travaille pour cette boutique de centre-ville. Jusqu’à présent, j’ai toujours été de petits boulots en petits boulots, sans vraiment m’attacher à un travail précis. Mais je dois avouer que depuis que je suis dans cette boutique, les clients me sont familiers, les produits me plaisent et le cadre est somptueux.  

 

Je travaille pour le compte de Monsieur Jean (Hugo Janssen), un jeune entrepreneur. Enfin on va plutôt dire qu’il a repris l’affaire de famille il y a quelques mois de cela et qu’il n’a pas l’âme à ça. Il est encore dans l’idée de ses projets, ambitieux mais en stand-by pour le moment. Il a une confiance aveugle en moi, malgré ma jeune expérience dans sa boutique. Je suis presque son bras droit.  

 

Il nous est arrivé de partir ensemble pour des salons pour découvrir de nouveaux produits, de nouvelles matières, de nouvelles coupes. Les vêtements l’intéressent plus que tout ! Il voue une admiration pour le chic élégant mais à bon prix, ce qui fait la réputation de sa boutique. D’après les clientes, il a les mêmes goûts que son père, mais en plus glamour et plus sensuel. Tout le monde pense qu’il est avec une bombe sexuelle mais il en est rien, il est seul. Il m’a avoué un jour en plein salon qu’il préférait sentir le vent de la liberté plutôt que l’odeur des oranges d’une prison. Cela veut tout dire. Et moi dans ce détail ? Je suis célibataire. Je n’arrive pas à garder un homme plus de deux semaines sans en avoir marre.  

 

Une amie à moi m’a parlé des « sex friend » mais l’idée me parait absurde à un point inimaginable. Offrir son corps pour une nuit sans état d’âme, sans sentiments, sans passion, c’est aller à l’abattoir direct.  

 

Mais, en ce jour de février, ma vie a quelque peu basculé… rien de grave, ni d’important… quoique…  

 

Nous étions en pleine fin de soldes. Après 5 semaines de folies, de flux de personnes importants, de tout ce qui fait le charme des soldes, nous devions enlever tout ce qui pouvait faire penser à cette période qui est aussi jouissive pour une femme qu’un bingo pour les vieilles. Monsieur Jean, enfin Yann et moi étions à la boutique. Il était tard. La masse de boulot est encore assez importante. Nous décidons de faire une pause et de nous commander une pizza, histoire de se restaurer un peu. On échangea comme nous avions l’habitude de le faire lors de nos déplacements ou de nos journées de travail ensemble. C’est vrai que je n’ai jamais trop prêté attention à nos dires, ni même nos gestes. On a beaucoup parlé ce soir-là de nos conquêtes passées. Et c’est là que j’ai compris ce qui nous liait : notre façon catastrophique d’avoir une histoire. Il ne sait pas garder une femme, de peur de ne plus avoir de liberté. Un peu ce qu’il me fait peur dans une relation en plus des sentiments.  

 

Nous avons fini notre pizza. Nous avons eu du mal à nous remettre au travail. Nous avons continué à papoter et machinalement, nous nous sommes rapprochés. Pas comme tout le monde pense. Il n’y a pas eu de gestes déplacés, de sous-entendus ou autres.  

 

La fatigue arrivant et les difficultés à finir le travail apparaissant de plus en plus, nous discutions encore et encore. A un moment, je me suis rapproché, lui aussi, et nous nous sommes embrassés. Aucun étonnement, aucun recul, juste du plaisir. Le plaisir ne s’est pas arrêté à un simple baiser puisque nous avons décidé d’aller plus loin. Il a commencé par enlever mon chemisier, recouvrant mon soutien-gorge en satin que j’affectionne tout particulièrement. Il m’a embrassé dans le cou, longuement mais sûrement. Il se dirigeait vers mes seins, enlevant avec simplicité le vêtement les recouvrant, les laissant apparaître. Il embrassa mes mamelons longuement, me faisant frémir. Il continua son chemin vers mon nombril, puis continua encore en enlevant mon jean. Je le voyais caresser le dessus de mon string dentelle rouge. Je décidais de me relever et de m’occuper aussi de l’homme. Son t-shirt vola au travers de la boutique, son jean lui arrive rapidement aux chevilles, laissant apparaître son boxer moulant, moulant son sexe en érection, presque prêt à dégainer. Je décide de l’embrasser, lui apposant de délicats baisers. Je le sentais monter, l’envie de tout envoyer. J’arrêtais et j’entamais de longs et vigoureux baisers, mêlant nos langues. Il m’enleva brusquement mon string, allant rapidement chercher mon clitoris. La jouissance m’envahit rapidement, me lançant totalement emporté, me laissant me vider. Je l’ai enlevé brusquement et j’ai baissé son boxer, empoignant son sexe entre mes mains et le guidant dans mon vagin. Il s’enfonça d’un coup sec puis commença de léger va-et-vient. Je le sentais en moi. Il accéléra le mouvement après quelques minutes pour jouir une première fois en moi. Je n’ai jamais connu cette sensation agréable.  

 

Je pensais que ça en serait fini mais non ! Je décidais de le masturber. Même de lui faire une fellation. Je le sentais revenir rapidement à la raison. Je le suçais encore et encore jusqu’au moment où je le laissais prendre tout en main. Il enfonça son pieu dans mon vagin d’une façon délicate. Je ne continuerai pas ce long moment de plaisir où il jouissait encore une fois et encore et encore jusqu’au lendemain matin.  

 

Depuis, une complicité entre nous est né mais aucune histoire de cœur.  

Scénario :
une série Z sentimentale (érotique) de Hugo Hayes

Hugo Janssen

Diane Black
Sorti le 15 novembre 2042 (Semaine 1976)
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