Concours Cinéjeu Island  

Charles Hopwood : Paul Reynolds  

Vivian Kander : John McDoyle  

Ezra Semagne : Lily Manders  

Joan Willhyams : Eva Anderson  

Je voudrais m'excuser pour le E à Sex sur l'affiche, faute que je ne peux pas corriger car je ne suis pas sur mon ordi, excusez-moi.  

A GérardMerveille, les jeunes qui ne sont pas destinés au cinéma ou aux brillantes études sont constamment envoyé dans la GérardMerveille High School. High ne signifie pas que ses pensionnaires ont brillants, mais que les effectifs, donc que les étudiants en bas niveau à GérardMerveille sont nombreux.  

Mais les cours à la GHS ne sont pas la principale préoccupation des étudiants : effectivement, entre les affaires amoureuses, sexuelles, d'amitié ou les complots machiavélique, la GHS regorge d'histoire saugrenus dont chaque ancien élève préférerait effacer de sa mémoire...  

Ce film raconte la plus célèbre d'entre elle.  

Nous sommes le 23 mai 2017, les élèves de la GérardMerveille High School rentre en cours, les examens sont dans moins d'un mois...  

Paul Reynolds était un abruti, un con fini comme on en fait pas deux (rien que le fait d'exister était une hérésie). Il n'avait en plus de ça pas de physique avantageux, et encore moins de potes.  

Parmi ses rares amis, on comptait John McDoyle, un autre abruti mais qui attirait plus les filles. Ils étaient amis depuis l'enfance et leurs différences de popularités n'avaient pas cassés leur amitié indéfectible, même si l'excitation constante de John avait le don d'énerver Paul.  

Mais Paul avait une idée. Une idée qui, si elle réussissait, pourrait le rendre plus populaire que John, et mettre sa jalousie de côté pour, comme John, attirer les filles comme un aimant.  

Cette idée, c'était d'annuler les examens.  

Qui ? Paul Reynolds.  

Où ? À la GérardMerveille High School  

Pourquoi ? Pour la gloire.  

Reste le Comment ?  

Revenons au 23 mai 2017, journée fatidique où l'opération Chiottes (puisque c'était son nom de code) a été mise en pratique, débutée en tout cas. Paul avait tout imaginé pendant des mois, malgré son idiotie non dissimulée, il était sur que ça allait marcher. Sur. Ou du moins il espérait.  

Le Directeur de la GHS se nommait Robert Kikley, ou Mr. Kikley, car moins du quart des élèves avaient eu vent de son prénom, si banal soit-il. Mr. Kikley quitta son bureau à 8h30 tapante. Paul avait bien vérifié qu'il allait sortir à cette heure là pendant les précédentes semaines. Il partait faire sa tournée : Vie Scolaire - Bibliothèque - Permanence - Administration. Il se trouve qu'en cette journée du 23 Mai, Paul commençait à 9h. Il pouvait donc, comme chaque élève de sa classe, arriver à cette heure là (voir dix minutes plus tard), mais avait décidé cette fois ci de se pointer à 8h15; juste le temps de monter au bureau de Mr. Kikley.  

Il n'y avait pas de video-surveillance. Il avance dans le couloir non protégé et arrive devant la porte du bureau du Directeur et la pousse. Elle n'est pas fermée. Il a confiance en ses élèves.  

La salle est petite. On voit l'ordinateur dans un coin et des tas de paperasses dans des tiroirs et sur son bureau. Paul s'avance vers le poste informatique. Mr. Kikley a juste éteint l'écran. Il était en train de jouer au Solitaire.  

Paul ferme la fenêtre et se rend sur le navigateur internet. Là, il se rend sur le site de messagerie de Kikley (qui est disponible en bas de chaque feuille d'administration), et évidemment, l'homme a enregistré son mot de passe. Il se connecte. Il lui reste environ cinq minutes avant le retour de Kikley. Il cherche dans les derniers e-mail reçus.  

Voilà : Réception des feuilles d'examens, envoyé par l'imprimerie. Il l'ouvre l'e-mail et imprime. Il y a tout : date, heure, lieu, nombre de copies. L'imprimante sort la feuille et Paul la prend. Il sort aussitôt en prenant soin de remettre le bureau de l'ordinateur comme il l'avait trouvé.  

Il ne se doutait pas que cette affaire deviendra rapidement une affaire criminel aux multiples meurtres et qu'à l'issue de ce film, il se retrouvera en prison pour toujours.