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Gérard Cousin Prod présente
Le Dernier Jour

Le réveil sonne: Il est 5 heures et trente du matin. John attrape son paquet de clopes sur la table de nuit, s'en allume une: En s'allumant sa "tige à cancer", il se marre. Ce qui l'amuse, c'est qu'au moins il peut fumer tranquillement sans se dire que le crabe le rattrapera...  

Surtout lorsqu'on est sur de ne plus être en vie demain à la même heure...  

John se lève et va vers la fenètre, regarde le soleil se lever sur New-York. Au loin, il voit les buildings de Manhattan, les tours du World Trade Center...  

En regardant le soleil se lever, John se dit qu'en fait, jamais depuis qu'il était gosse il n'avait pris le temps de "savourer" un lever de soleil...  

Ce genre de chose, on y pense que lorsque l'on sait qu'on n' aura plus l'occasion d'en voir...  

Moins d'une demi-heure plus tard, après une douche et une tasse de café, John est presque prêt: Chemise blanche impéccable, gilet et rasé de près, cela fait des années qu'il n'a pas fait autant attention à lui! Puis il va vers la table de salon où se trouve son holster contenant son arme. Voila, il est prèt. Prèt à vivre le dernier jour de sa vie...  

 

-1974, New-York-  

-1h24 A.M- John (Tomas Rodriguez) titube sous l'impact d'une balle puis de deux tirées dans son dos...  

Il tombe à genoux sur le sol poussièreux. Il lache son arme: Alors voila, c'est fini... se pense-t-il. Depuis des semaines il se pensait "pret", il savait comment ça allait se finir... Mais au final, comme tous les autres habitants de cette Terre, il n'était pas "prèt"...  

Il a frolé la mort durant toute cette dernière journée, à "jouer" avec elle, la donner à de nombreuses personnes aussi... A ce moment-là, il repense à un truc lu dans un bouquin y'a des années: Le général "Stonewall" Jackson, durant la guerre civile, ne bougeait pas sur le champ de bataille, ne se mettait même pas à couvert, au grand étonnement de ses subordonnés qui eux, cherchaient le moindre endroit pour éviter le feu ennemi. Mais Jackson non... Ce type avait une théorie bien particulière: La balle qui le tuerait, il ne pourra pas l'éviter...  

Alors rien ne sert de se cacher...  

John est au sol, baignant dans son sang, sa dernière pensée va vers Samantha (Tabira Baulman-Romkins), si t'en est que c'est son vrai nom...  

Le magnifique visage de la jeune femme blonde se penche vers lui. Alors que sa vie le quitte, en regardant le visage de Samantha près du sien, il comprend que leur rencontre n'avait rien à voir avec le hasard mais malgre tout, il se dit que cette dernière journée n'était pas si mal après tout...  

Alors que sa vie le quitte, il revoit le fil de sa journée de manière confuse et désordonnée...  

 

-2h13 P.M- John est dos au mur dans tous les sens du terme: Appuyé contre un mur, fusil en main, il se protège des balles tirées par les porte-flingues des Venticello! En fait, il a mis à exécution son plan: Débarquer dans le manoir et flinguer jusqu'à ce qu'il n'y ait plus personne en vie ou jusqu'au moment où il se prendra une balle...  

Pour l'instant, il s'en sort pas si mal! Mais John n'avait pas imaginé que ces enfoirés étaient si nombreux! Et il n'est pas venu avec des tonnes d'armes: Son flingue, point...  

Heureusement que ces fils de putes ont des armes à faire passer ceux de l'Armée pour des jouets pour gosses! John vérifie le fusil qu'il a entre les mains: Vide...  

Il le jette avec violence au sol, voit un M16: John se jette au sol, roule, attrape l'arme et tire sur ses assaillants, les balles pulvérisent le torse des porte-flingues! John se met à couvert devant une nouvelle vague d'assaillants! Les murs de la salle à manger sont criblés d'impacts de balles, les cadavres ensanglantés tapissent le sol. John se dit que peut-être, il a fait une connerie là: S'attaquer seul à tous ses adversaires, c'est de la folie furieuse! Même si le "risque", au final est très limité: Au pire, ils vont le buter? C'était déjà prévu avant! La fusillade continue dans tout le manoir...  

Finalement, John décide de battre en retraite. Il se fraye un chemin à coups de feu, continue dans le jardin à flinguer tous ceux qui s'approchent et finalement rejoint sa Buick: Il démarre en trombe, renversant certains de ses adversaires puis conduit vite dans les rues, histoire de s'éloigner de cette barraque. Il a une poussée d'adrénaline, il prend son pied, vraiment! Les Venticello sont des enfoirés intouchables! Lui les touche avec des pruneaux! Il nettoie, il récure, il fait place nette même si c'est la dernière chose qu'il doit faire sur cette putain de Terre! Alors qu'il est au milieu de la circulation, il pense à Samantha: C'est dommage de l'avoir rencontrée aujourdhui car peut-être, y'aurait pu y avoir autre chose, sur la durée qui sait? John s'allume une clope en se disant que si cela n'avait pas été son dernier jour, jamais il ne serait allé dans ce café, jamais il n'aurait rencontré cette fille...  

Donc dans un sens comme dans l'autre, cela n'avait aucun avenir...  

 

-7h53 A.M- John attend en "planque" dans sa Buick devant un restau minable du centre de Little Italy. Ce restau, c'est la façade légale du trafic de drogue de la famille Venticello. D'une certaine manière, c'est à eux qu'il doit cette liberté en ce 12 juin...  

Pour la plupart des gens, c'est un mercredi comme un autre... Pour John, c'est le dernier mercredi de sa vie...  

John est un bon flic, prenant pas mal de libertés avec les regles. Depuis plusieurs années, il est devenu l'adversaire numéro 1 de la famille Venticello! Oh bien sur, avec ses faibles moyens, il ne leur a pas fait grand chose: Ils sont riches, puissants et apparemment "respectables". Mais l'inspecteur Ford s'est obstiné, s'est acharné, leur a porté quelques coups...  

Il en a tués aussi, en état de légitime défense bien sur! Grace à ses "méthodes" et à son obstination déraisonnable, John et ses collègues ont réussi quelques coups contre les Venticello. Mais la patience n'est pas une vertu pour une famille mafieuse: Ils ont donc décidé d'éliminer l'inspecteur John Ford, véritable épine dans leurs pieds. Ils auraient pu le faire abattre à la sauvette, comme ça, sans que John ne s'y attende...  

Mais ils ont fait ça différement: Un message où il était marqué "Mercredi 12 Juin" et une balle...  

Lorsque John reçut ça, il y a quelques jours, il n'eut aucun mal à comprendre. Le but des Venticello, c'est de lui mettre la pression, lui faire vivre ces derniers jours dans la terreur, l'échéance s'approchant inexorablement, jour après jour, heure après heure...  

Si au début, John a pensé fuir, essayer de s'en sortir, il est arrivé à la conclusion que cela ne changerait rien: Il a joué, les a affrontés et a perdu...  

Dès lors, il a commencé à cogiter dans sa tête: Ok, ils vont le faire tuer, c'est un fait! Mais le 12 juin, il deviendra aussi le plus libre des hommes, un homme dont les actes ne seront pas sanctionnés, un homme qui n'aura plus à se conformer à des lois et à des regles! Lorsque l'on sait que l'on va mourrir, on peut se "lacher"! Et c'est ce que John a décidé de faire! En cette dernière journée, il a décidé d'emporter le plus de salauds possible, des types que les lois n'atteignent pas grace à leurs armées d'avocats! Et John est bien décidé à frapper les Venticello le plus fort et le plus durement possible, qu'ils n'oublient jamais cette date, celle où ils auront fait exécuter un petit "flic" mais aussi le jour où une partie de leur bussiness est partie en fumée, où certains des membres de la famille iront à la morgue...  

Une sorte de baroud d'honneur qui sentira la merde et le sang... John voit des types arriver à l'arrière du restaurant, déchargeant la marchandise...  

John sort de sa voiture, arme à la main, et va vers eux: Il en connait plusieurs, des petites frappes à la solde des Venticello: Il tire une première balle puis un autre, les types tombent au sol, hurlant de douleur. Les types braillent comme des porcs alors que John les traine à l'intérieur du restaurant. Là, il met une bastos à un type armé à l'intérieur. Sur une table, de la came, empaquetée, qui n'attend plus que ces sympathiques revendeurs pour inonder les rues...  

John ressort du restaurant, va jusque vers sa voiture, ouvre le coffre et en sort un bidon d'essence puis il retourne à l'intérieur: Là, il commence à vider le contenu de son bidon sur les murs, la came, les petites frappes qui perdent leur sang... La terreur se lit sur leurs visages, ils supplient mais John ne les entend pas...  

Il se met sur le pas de la porte, sort une nouvelle clope, craque une allumette, allume sa "tige à cancer" puis lance l'allumette encore en feu dans la mare d'essence...  

L'intérieur du restaurant s'embrase instantanément! Les flammes dansent sur les verres des lunettes de soleil de John. Puis, calmement, il rejoint sa Buick et démarre en trombe...  

La journée commence bien se pense-t-il...  

 

-3h59 P.M- Les Venticello ont laché les "chiens": John se retrouve traqué comme une bête par les porte-flingues de cette famille de merde! Mais ces enfoirés ont aussi prévenu les autorités, histoire de faire de John un fugitif, un type que les autres flics devraient descendre à vue...  

Cela ne tracasse pas John outre mesure: La plupart de ses collègues aimerait voir les Venticello en enfer...  

Et donc ce que fait l'un des leurs ne peut être qu'apprécié... Mais John sait aussi que le "bordel" qu'il fout depuis ce matin, ben ça, c'est pas très apprécié par la hierarchie et y'a de grandes chances que les collègues pensent qu'il a perdu la raison et qu'il est devenu un danger public...  

En pensant cela, John se dit que c'est pas faux au final: Franchement, qui ferait ce qu'il fait? Son esprit ne semble pas très "sain" faut le reconnaitre! Il tire, il tue, il fait cramer...  

C'est pas être un psychopathe, non, mais c'est quand même pas loin...  

Etrangement, il veut rester en vie, au moins quelque heures encore, il veut absolument revoir Samantha au moins une fois, sans trop savoir pourquoi...  

Comme si c'était son "destin" de la revoir avant que tout se finisse...  

C'est une sensation étrange, très étrange...  

 

-6h23 A.M- L'inspecteur John Ford conduit sa Buick Appolo à toute allure dans les rues de la ville, lunettes noires sur les yeux. Il fonce en direction de la 124eme rue, à l'intersection de Miller et Crosswood. Un méchant coup de frein devant l'immeuble en question. Batisse délabrée, partant littéralement en morceaux, la ville devrait le raser mais pour l'heure, c'est un lieu des plus "dangereux"! John vérifie que son arme est chargée. Il descend de la voiture, flingue à la main, puis penètre dans l'immeuble. Il est sur ses gardes et monte avec précautions dans les étages, essayant de faire le moins de bruit possible. Soudain, un type sort d'un renfoncement, une lame dans les pognes! John pointe son arme dans sa direction. Le type jette sa lame au sol, l'air terrifié:  

-"Déconne pas mec!"  

John tire...  

Pour la discrétion, c'est rapé mais cela n'est pas grave! L'inspecteur monte en courant dans les étages et arrive à celui où se trouve "le gros" du gang. John les connait: Depuis des mois, John comme ses collègues savent qu'ils font dans le crack et dans la prostitution de mineurs. Mais il faut des preuves, suivre des procédures pour être sur qu'ils finissent derrière les barreaux. Fournissant certainement des "filles" à des types de la municipalité voir de la police, vouloir les faire condamner est illusoire. Pour "flinguer" une carrière, y'a pas mieux! Mais tout ça, ça ne concerne plus John...  

Dans les étages, John arrive flingue en main: Il rentre dans l'un des appartements de ce "squat", il avise une gamine de même pas quinze ans, défoncée au crack, à moitié dans les vapes, étalée sur un matelas crasseux. John voit aussi un type, non-loin, lui aussi un peu dans les vapes. Mais lui, John le connait: L'un des caïds de ce gang, un type au casier judiciaire pourtant plus "vierge" que celui de John...  

Soit c'est un saint, soit c'est un malin...  

John opte pour la seconde solution...  

Le flic file un coup de pied au type pour le réveiller. Le dealer/junkie/proxo ouvre difficilement les yeux et pose son regard sur John: Il le reconnait! Y'a deux ans, sur les conseils de son avocat, il avait porté plainte contre John pour des coups que ce dernier lui aurait asséné lors de son interpéllation...  

Ce qui n'était pas le cas! John pointe son flingue sur lui:  

-"Tu te souviens de moi?"  

Le dealer tire la tronche mais son sentiment d'impunité reste:  

-"Casse toi, flic! Ou tu devras en subir les conséquences!"  

John a un rictus:  

-"Au tribunal encore?"  

Le dealer se met à brailler pour appeler ses potes puis affirme:  

-"Non, cette fois, on va te faire couiner comme une pute!"  

Plusieurs voyous du gang arrivent armés et avec la volonté évidente d'en découdre! John est satisfait: Il abat le dealer d'une balle puis se met à couvert! Les balles fusent, pulvérisent les murs! John, d'un calme olympien, recharge son arme, abat des voyous, se sent "libre"...  

Lorsque la fusillade touche à sa fin, John est toujours vivant, sa chemise tachée du sang de ses ennemis, regardant leurs corps encore agités par des soubresauts. Le plus calmement du monde, il quitte les lieux en s'allumant une clope, monte en voiture, satisfait: Lorsque l'on a pas à supporter les conséquences de ses actes, on a un sentiment de liberté, un sentiment d'achevement, la satisfaction du travail accompli...  

Mais ce squat n'était qu'un "bonus", une mise en jambe pour la suite: Les heures tournent et John ne va pas devoir trainer en route s'il veut avoir le temps de faire ce qu'il a prévu!  

 

-10h45 A.M- John écoute la fréquence "Police", histoire de voir si ses "actions" commencent à faire du remous. Et effectivement, si les meurtres du gang de Miller et Crosswood n'ont pas été encore découverts, le restaurant cramé de Little Italy, ça fait forcément plus parler: Certains de ses collègues se réjouissent car ils savent parfaitement à quoi servait l'établissement, d'autres s'intérrogent sur un possible début de la guerre d'une nouvelle guerre des gangs...  

John coupe la radio et reste sans bouger dans la Buick. Pendant des semaines, il a planifié cette "vengeance", accepter de "partir" mais en amenant avec lui un nombre impressionnant de fils de putes! Il pense même débarquer dans le manoir des Venticello et faire un carton sur tout ce qui est vivant...  

Bien sur, cela ne changera absolument rien car le "flingueur" qu'ils ont embauché pour le tuer fera son office même si ses commanditaires sont morts. Car ils ont dû embauché un vrai pro. Alors qu'il devrait se bouger, s'activer car l'heure tourne, chaque minute, chaque seconde le rapproche de son inexorable fin...  

Et pourtant John reste là sans bouger. En regardant la rue qui l'entoure, il voit un café/snack. Il attrape sa veste, descend de la voiture, l'enfile, s'allume une clope et traverse la rue, bien décidé à s'envoyer un café et peut-être, s'ils en ont, un muffin ou deux...  

A l'intérieur, peu de monde. Il s'asseoit, la serveuse vient vers lui: Une grosse femme au visage d'une banalité sans nom, l'air ailleurs lui demande ce qu'il veut:  

-"Un café et un muffin..."  

Sa tasse dans la main, John regarde par la vitre, il regarde les voitures qui passent, les gens qui marchent sur le trottoir d'en face. Ce qui le trouble, c'est que pour tous ces gens, c'est un jour comme les autres mais pas pour lui. D'une certaine manière, John aurait envie de crier Eh, aidez-moi! comme un mec qui se noierait entouré de plein de gens mais a quoi cela servirait? Absolument rien...  

Finissant son muffin, il reporte son attention vers l'entrée: Une magnifique jeune femme blonde penètre dans le café. Sa démarche est féline, ses yeux sont enjoleurs, ses traits du visage rappellent ceux des poupées de porcelaine finiment déssinés...  

John ne peut détacher ses yeux d'elle...  

Elle vient vers lui, une cigarette entre ses doigts délicats et d'une voix cristaline lui demande:  

-"Auriez-vous du feu?"  

John hoche la tête, sort ses allumettes et allume la cigarette... Au milieu des volutes de fumée, John peut mieux voir son visage, de près...  

Leurs regards se croisent. Comme dans un murmure, elle demande si elle peut s'assoir, John accepte bien évidemment. Ils sont là tous deux, fumant leurs clopes, se regardant sans dire un mot... Puis John lui dit:  

-"Vous devriez pas fumer: C'est un coup à choper un cancer ça..."  

Intérieurement, John se dit Bravo, t'as pas trouvé plus con comme technique de drague? T'auras déjà de la chance si elle se barre pas!  

La jeune femme a un léger sourire:  

-"Et vous, vous ne risquez rien?" en désignant la clope entre les doigts de John. Le flic a un sourire géné:  

-"Non, moi je risque rien..."  

La jeune femme sourit, belle enigmatique, impénétrable...  

-"Je m'appelle Samantha..."  

-"Moi c'est John..."  

Ils discutent de tout et de rien et d'une certaine manière, John est déçu de rencontrer une telle fille un jour comme aujourdhui: C'est vrai, ils sont là, devant un café, à discuter, y'a un bon "feeling" entre eux, mais cela arrive le jour du dernier jour de sa vie! A moins que Dieu, le destin, la chance ou je ne sais quoi d'autres ai un putain de sens de l'humour! Les minutes s'écoulent doucement mais John s'en fout: Il est subjugué par Samantha!  

-"Et vous venez d'où?"  

Léger silence de la jeune femme.  

-"Milwaukee..." se contente-t-elle de dire. En fait, elle viendrait du plus profond de l'Enfer que cela ne dérangerait pas John...  

Mais malgré tout, il se dit qu'il lui faut continuer, il n'a pas de temps à perdre!  

-"Samantha, est-ce que l'on pourrait se revoir? Plus tard?"  

La jeune femme lui dit oui...  

-"Demain?" dit-elle avec malice...  

John est mal à l'aise: Il va pas lui balancer que demain, il sera mort...  

-"Ce soir alors?"  

John est ravi. Il lui donne rendez-vous dans un restaurant plutot "classe" qu'il connait. John se lève et s'apprete à quitter le café lorsque Samantha lui lance:  

-"Ne soyez pas en retard..."  

John est amusé par cette réplique: Le temps joue contre lui et on lui demande de ne pas être en retard...  

Il hoche la tête pour acquiescer et passer la porte: Y'a du boulot qui l'attend...  

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Film mélant polar et action, "Le Dernier Jour" est le nouveau film réalisé par Katrina Debney! Au générique, on trouve Tomas Rodriguez ainsi que Tabira Baulman-Romkins entre autre! La musique est composée par Adria Klimek et le générique de fin est la chanson "A Flower Is All You Need" interprétée par Demis Roussos! Fusillades, explosions, moments épiques mais aussi drame et sentiments se méleront et rythmeront la dernière journée de l'inspecteur Ford...

Scénario : (1 commentaire)
une série Z d'action (Policier) de Katrina Debney

Tomas Rodriguez

Tabira Baulman-Romkins
Musique par Adria Klimek
Sorti le 28 septembre 2024 (Semaine 1030)
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