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Gérard Cousin Prod présente
Dr Edwards et la Porte des Enfers

Paris. Juin 1900.  

 

Le professeur Ruben Jacobsen caressait du regard le portrait de sa fille encastré dans sa montre à gousset et inconsciemment le pouce de sa main gauche grattait doucement la marque sur le majeur là ou de tous temps avait siégé une imposante chevalière.  

Il rentrait chez lui au petit soir. Tout semblait normal, pourtant le professeur ne pouvait se départir d’un pressentiment désagréable. En arrivant sur son palier, le professeur put constater que sa porte avait été fracturée. Poussant prudemment la porte, il fit craquer sous ses pas les débris de vases et les affaires qui venaient d’être fouillées et saccagées chez lui.  

Le cœur battant, il avançait dans la pièce principale, ou une forte odeur d’encens l’interpella. Sous un rayon de lune une silhouette de dos se dessina, s’adressant à lui d’une voix mielleuse. Le professeur eut un pas de recul. Ses pires craintes s’avéraient réelles. Il se savait perdu, et comme tout gardien, il était depuis longtemps préparé à cette éventualité. Il avait fait ce qu’il pouvait.  

- Vous n’obtiendrez rien de moi…  

Un rire sardonique s’éleva en réponse alors que la forme recouverte d’une cape noire se retournait doucement. Les pupilles du professeur Jacobsen se dilatèrent de peur lorsque la créature fondit sur lui. Il ne sentit pas la pression des crocs dans sa gorge, il ne sentit pas son sang quitter son corps, la vie lui échapper. Sa dernière pensée fut pour sa fille, sa dernière prière pour le salut de l’humanité.  

Sur la rue principale, au bas de l’immeuble, une voiture attendait. Son occupant masqué dans la pénombre scrutait l’entrée principale d’où émergea bientôt une silhouette féminine.  

 

L’occupant de la voiture tendit une main gantée brodée d’un W. Le gant se trouva taché par le sang qui recouvrait encore la montre à gousset ou le visage angélique de Rebekka Jacobsen s’offrait au regard des assassins de son père. Dans l’ombre un rire déchiré entre colère et amusement s’éleva.  

Une fumée noire commença à s’évacuer par les fenêtres tandis que les flammes bientôt alerteraient les voisins. La portière de la voiture claqua, les fers des chevaux se mirent à battre le pavé ou gisant se trouvait la montre à gousset du professeur Jacobsen.  

 

***  

 

Londres -  

 

Charles Henry Edwards (Toshio Okumura) retrouvait ce jour là son beau père au Reform Club. Sa canne le précédant de son pas nonchalant de Dandy, il prenait le temps de saluer ses quelques connaissances avant de prendre place à la table ou l’attendait le professeur Adams. Il posa son haut de forme et ôtait ses gants, interpellé par l’air préoccupé de son beau père.  

Alors qu’ils déjeunaient, ils furent interrompus par l’arrivée de 2 télégrammes tous deux adressés au Professeur Adams. La lecture du premier message le laissa indifférent, cependant alors que ses yeux parcouraient le second télégramme, Charles ne put s’empêcher de constater la pâleur de son beau père.  

- Qu’y a t’il … osa t’il demander. Une mauvaise nouvelle ?  

Charles henry ne connaissait pas le professeur Jacobsen, aussi l’annonce du décès de ce dernier ne le toucha que peu. Il s'agissait selon le professeur Adams du sixième de ses confrères a trouver la mort en si peu de temps. Cette nouvelle passée, ce fut le contenu du premier télégramme qui eut son impact sur le métis. Il s'agissait d'une Invitation.  

 

***  

 

Dans sa résidence de Mayfair, Charles Henry mettait les dernières affaires dans son sac de voyage. Il évitait consciencieusement le regard de son épouse. Elle arborait une moue mi boudeuse, mi canine, à laquelle il se savait résister et dont leur fille Catherine semblait avoir également hérité.  

 

Cependant, si l’idée de se rendre à Paris alors qu’un événement d’ampleur telle que l’exposition universelle semblait exciter Elizabeth (Alona Cannon), c’est d’un œil moins bienveillant que le jeune dandy considérait la chose. C’était bien simple, tout déplacement impliquant la traversée d’une mer ou d’un océan n’était pas bienvenue au jeune homme, mais en beau fils dévoué, il n’avait pu décliner la demande de son beau père et les nombreuses invitations jusque là reléguées et qui trouvaient là de fait une réponse.  

 

Dans le coche qui les menait de Londres a Douvres, puis à l’embarcadère, Charles Henry observait son beau père, les traits tirés, jouant machinalement avec la chevalière qui ne le quittait jamais. Il n’osa pas de questions, et ils atteignirent le port. Alors qu’ils déchargeaient leurs bagages prêts à Embarquer le professeur Adams fut interpellé par un contrôleur qui demanda son attention pour quelques formalités.  

 

Les minutes passaient, Charles commença à s’inquiéter et partit à la recherche de son beau père. Il arriva à temps sur les docks ou le professeur Adams inconscient était emmené par des hommes vêtus de noir. Jetant sa canne en ébène sculpté, Charles Henry s’élança et repoussa les agresseurs de son beau père de quelques prises de "Kalarippayatt" cet art martial indien dont il avait acquis la maîtrise. Les agresseurs ne tinrent pas longtemps, seul l’un d’eux, probablement leur chef, tenta une dernière réplique, vite arrêté par Charles qui le mit a terre.  

 

Alors qu’il ranimait son beau père, soucieux de ne pas manquer le départ de leur bateau, le jeune homme à terre qui venait de tenter d’enlever le professeur Adams leur lança un avertissement avant de s’enfuir.  

Le professeur Adams se remettait doucement de ses émotions. Charles l’avait ramené à temps à l’embarcadère ou ils avaient pu monter à bord du bateau qui les emmènerait en France.  

 

L’on servait le thé, Charles Henry fixait son beau père d’un regard inquisiteur. La tentative d’enlèvement l’avait laissé perplexe. Qui pouvait-il bien en vouloir au professeur ? Pourquoi l’avait on mis en garde de ne pas se rendre à Paris ? Et plus que tout, une question lui brûlait les lèvres. L’homme avait prévenu d’un grand danger… le sceau était menacé… quel sceau ? et en quoi le professeur Adams était il mêlé a tout cela ?  

Aucune réponse à cette question n’avait été apportée, et Charles avait la conviction que son beau père n’avait rien encore révélé de ce qu’il pouvait bien savoir. Cependant en bon gentleman, il n’insista pas plus.  

 

Tout en jouant négligemment de la cuillère dans sa tasse à thé, Charles Henry passait le regard autour de lui. Il avait la nette impression d’être observé et alors qu’il reconnaissait vaguement une odeur d’encens, son regard croisa celui d’une femme brune. Les paires d’yeux se fixèrent Onyx contre Onyx jusqu’à ce que Charles Henry doive détourner le regard pour répondre à son beau père qui le lançait dans une conversation. Lorsqu’il leva à nouveau les yeux vers l’apparition qui sans qu’il sache pour quelle raison, le rendait mal à l’aise, la mystérieuse femme avait disparu.  

 

***  

 

Paris -  

 

Dans la résidence anglaise, du Pavillon Britannique sise rue Fabert, à Paris, le docteur Edward passait en revue les yeux indolents un lot de télégrammes tous lui étant adressés. Il n’y avait là rien de bien étrange. Ils logeaient au pavillon britannique, en pleine exposition universelle et étaient en outre des spécialistes confirmés dans leurs domaines. Ils n’étaient la que depuis deux jours et il était déjà convié a des conférences à la Sorbonne, des dîners dans les cercles scientifiques et mondains. Pourtant si le Gentleman s’en accommodait habituellement fort bien, il ressentait un malaise général quand à leur présence à Paris.  

 

Son beau père ne lui avait toujours rien dit de ses profondes motivations et il était vaguement ennuyé de se trouver mêlé à tout cela. De plus si le professeur Adams semblait ne plus penser à l’agression dont il avait été fait l’objet, Charles n’était pas tout à fait rassuré et se posait d’innombrables questions auxquelles il espérait finir par obtenir des réponses.  

 

En attendant, il s’adonnait aux activités mondaines liées à sa personne et à sa profession et accompagnait le professeur lui-même engagé à plusieurs rencontres, dont la singulière visite à la fille de son confrère récemment décédé.  

 

Rebekka Jacobsen (Logan Mandown) logeait dans un appartement au centre ville. La jeune femme blonde arborait une toilette d’un rose pâle qui faisait mieux ressortir la pâleur de ses traits et avait le cou masqué d’un foulard un peu plus foncé. Ses grands yeux d’un bleu transparent scrutaient tour à tour le professeur Adams et le Docteur Edwards. Ils avaient parlé de son père et il semblait au Docteur Edwards que la jeune femme était vague dans ses réponses, plutôt absente.  

 

Le professeur Adams demanda à s’entretenir seul avec la jeune femme, ainsi Charles Edwards se trouva dans le grand couloir. Il fut interpellé alors qu’il déambulait dans l’immeuble par la même odeur d’encens qu’il avait perçue à plusieurs reprises dans le bateau. Il poussa une porte, il lui sembla voir une silhouette féminine se dérober.  

 

Suivant son Instinct, Charles se mit à la suivre. Dans le dédale de couloirs il pressait le pas, et se retrouva bientôt dans la rue, empruntant des ruelles désertes sans que jamais la jeune femme se retourne. Charles ignorait pourquoi mais il savait qu’il y avait quelque chose concernant leur voyage a Paris lié a cette mystérieuse jeune femme. Sans qu’il puisse s’en rendre compte elle venait à nouveau de s’évanouir, seul le parfum entêtant de l’encens qui émanait d’elle laissait deviner sa présence récente. Intrigué Charles laissa ses pas et son odorat le mener à ce qui s’avérait être un établissement de bains publics.  

 

L’endroit semblait déserté. Seules quelques silhouettes se mouvaient, parmi elle, la silhouette noire que poursuivait Charles. Ses pas le menèrent à une chambre de bain ou une imposante vapeur rendait toute visibilité nulle. Charles se laissa surprendre par un coup tandis qu’une paire de bras s’agrippait à son cou l’attirant dans le grand bassin d’eau. Il tenta de se dégager par quelques mouvements vifs. Un cri perça le silence de la pièce et il aperçu enfin les yeux noirs de la femme du bateau.  

 

Il lui sonna de décliner son identité, ce à quoi un nouveau rire succéda alors qu’elle l’attaquait à nouveau. La longue tunique noire collait à sa silhouette qui se voulait voluptueuse, recouvrant tout son corps. Ses cheveux étaient du même noir que ses yeux et il y avait à son visage quelque chose de dément. Elle se mouvait avec une rapidité déconcertante et malgré son entrainement il avait du mal à anticiper ses mouvements. Le combat semblait être en sa faveur, il dominait de sa maitrise du Kalaripayatt les attaques de son adversaire. Cela lui fit penser à une immense diversion et Charles commençait a perdre patience.  

 

Malgré sa répugnance à frapper une femme, il asséna un coup particulièrement violent à son adversaire qui s’écroula. Quelques secondes passèrent avant qu’il ne se rapproche pour voir ce qu’il en était. Il fut surpris de la voir le repousser. Il sentit alors les jambes s’enrouler autour de sa taille. Son visage d’une sensualité effrayante se rapprocha du sien comme si elle allait l’embrasser.  

 

Les mains en arrière Charles essayait de se dégager de l’étau qui lui écrasait les os. Il tira sur le long tissu qui jusque la recouvrait entièrement la jeune femme et alors qu’il effleura ce qui semblait être sa peau, il ne put réprimer un cri d’horreur alors que le visage angélique devenait soudainement hideux, les longs crocs tentant à présent de lui lacérer la gorge.  

 

Un coup de feu évita de justesse une morsure fatale. La créature relâcha son étreinte et dans un mouvement d’une rapidité indiscernable, battit retraite.  

En s’écroulant, Charles découvrit le visage de son sauveur, c’était le jeune homme qui avait tenté quelques jours plus tôt d’enlever son beau père à Douvres.  

l'homme qui s'était présenté comme se nommant Juda (Enzo Vitali), l’avait aidé à se relever et une fois de plus le mettait en garde.  

 

- La goule ne faisait que s’amuser avec vous… vous divertir de choses bien plus graves ! Le professeur est en danger… vous devez le retrouver vite ! Nous courrons à notre perte si nous ne faisons rien !  

 

Avant que Charles puisse poser des questions, Juda avait disparu. De son mouchoir il essuya le sang sur son visage et son cou. Il était en colère, contre lui, contre son beau père… Il venait de se battre avec une goule, à Paris et l’on venait de le mettre en garde d’un grand danger…  

 

Le pas alerte, il fit le chemin du retour au travers des artères principales, bondées du monde curieux qui affluait dans les divers pavillons de l’exposition universelle.  

Arrivé à l’appartement de Rebekka Jacobsen, Charles fut surpris sans vraiment l’être de ne plus y trouver personne. Il quittait le petit salon désert quand il fut attiré par une photo de Rebekka et son père, le défunt professeur Jacobsen et ne put s’empêcher de remarquer a sa main la même chevalière que portait constamment le professeur Adams.  

 

Ce détail intriguant était peut être une des clés à la compréhension de tout ce qui se tramait depuis le fameux déjeuner au Reform club. Inquiet, Il rentra alors à la résidence anglaise, bien décidé cette fois à questionner le vieil homme.  

Avant qu’il ait pu regagner ses appartements, il fut interpellé par la réception d’un télégramme.  

 

Suis chez le Baron Von Werdeinmeyer. Invité à Dîner. Soyez là pour 8h. Pr Adams.  

 

Pourquoi ce télégramme lui donnait il l’impression d’être un faux ? Le professeur Adams était resté introuvable, et le soir tombait sans que Charles, confus et intrigué, ne puisse trouver une autre alternative qu’à se rendre chez le Baron Von Werdeinmeyer.  

 

***  

Charles patientait dans le hall d’accueil de l’imposant hôtel particulier. Sous un cercueil de Verre, se trouvait un corps Embaumé au dessus du quel une large fresque se dressait.  

 

- Fascinant n’est ce pas ?  

 

La voix grave derrière lui fit se retourner Charles. Un homme d’un certain âge, élégamment habillé, arborant des gants brodés d’un W se tenait devant lui.  

 

- Monsieur Von Werdeinmeyer.  

- Baron.  

 

Un sourire Malicieux éclaira le visage ridé alors que l’homme tendait la main vers la fresque.  

 

- Ce sont là les restes présumés du roi Salomon. Une légende vieille comme le monde raconte que le Roi Salomon, célèbre pour sa sagesse supérieure et son discernement sans aucune mesure, possédait un sceau… un sceau qui lui donnait le pouvoir de commander aux démons et aux créatures de l’enfer… Imaginer un tel pouvoir dans la main d’un homme…  

 

Charles pouvait voir briller les yeux du professeur et un frisson remonta son échine. La sensation que cet homme croyait en la véracité de son histoire et l’évocation du sceau le ramena à la tentative d’enlèvement du professeur Adams.  

L’homme sourit et l’invita à prendre place à côté pour le dîner. A table se trouvaient le professeur Adams, pâle et plus préoccupé que Jamais, ainsi qu’une Rebekka Jacobsen Livide, les yeux vides. Charles prit place le regard fixé sur son beau père. Alors que le Baron Von Werdeinmeyer (Mickael Glauà) s’installait à la tête de la table, une silhouette brune et familière fit son entrée.  

 

- Je crois que vous connaissez déja Zohra...  

 

Charles reconnut la jeune femme avec qui il s’était battu plus tôt dans la soirée. Cette fois c’en était trop, il avait besoin de réponses. Le baron sourit une nouvelle fois, accompagné par sa sombre complice.  

 

- Allons Docteur Edwards, nous parlerons après le Dîner, je crois que mademoiselle Jacobsen est affamée.  

 

Charles reporta son regard sur Rebekka après que le baron lui ai fait un signe de tête. Il vit alors son visage se métamorphoser et des crocs apparaître. Elle attaqua le professeur Adams, aspirant son sang par la morsure à son cou. Charles bondit de sa chaise, mais une forte pression le remit en place. Zohra (Bayja Jezek) se trouvait derrière lui.  

Le baron frappa des mains et Rebekka s’arrêta, essuyant d’une main tremblante, le regard livide le sang à ses lèvres.  

 

- Bien maintenant je crois que nous pouvons discuter Docteur Edwards. Il me manque une clé. Cette clé est la chevalière qui jusqu’à hier se trouvait fièrement au doigt du professeur Adams. Voyez vous, déjà trop de gens ont payé de leur existence une trop grande résistance à mes desseins. Apportez moi la chevalière, et le professeur Adams aura peut être la vie sauve. Echouez… et Rebekka en fera son repas... Ou peut être sera ce Zohra, je ne sais laquelle est plus féroce...  

 

Charles serrait les poings, il ne pouvait risquer la vie de son beau père. Il protesta, il n’avait aucune idée ou pouvait bien se trouver la chevalière. Il ne put s’empêcher de penser à Juda. Ce jeune homme devait en savoir plus que lui… Mais comment le retrouver ? Et comment mettre un terme a toute cette sordide histoire ? Le baron Von Werdeinmeyer se contenta de rire.  

 

- Vous êtes plus intelligent que cela Docteur Edwards… Je suis persuadé que vous saurez m’apporter ce dont j’ai besoin… Le sceau sera enfin mien.  

 

Charles regarda son beau père inconscient, le cou en sang. Il y avait trop de vies en jeu. Tout cela pour une stupide légende !  

 

- Oh ce n’est pas qu’une légende… Les enjeux sont tellement plus importants que vous ne croyez…  

 

Comme une réponse a ses pensées le baron Von Werdeinmeyer le regardait avec une mimique encore plus diabolique.  

 

- Nous attendons des invités pour le thé demain… Zohra?  

 

Un rire moqueur s’éleva derrière Charles alors que Zohra le regardait avec une haine palpable avant de répondre de sa voix mielleuse et rauque à la fois.  

 

- Oh oui… Elisabeth semblait tellement excitée de pouvoir faire visiter Paris avec Catherine… Une si charmante enfant…  

 

Cette fois Charles ne put se contenir. Il repoussa sa chaise et donna quelques coups évités par Zohra qui le mit vite à terre en lui assénant des coups de Kalaripayatt, ce qui le surprit.  

 

- J’apprends vite Charles… c’est l’une de mes qualités.  

 

Charles grimaça alors que la langue répugnante de Zohra lui léchait la joue. A terre, il vit se rapprocher le Baron Von Werdeinmeyer précédé par sa canne.  

 

- Soyez à l’heure Charles. Minuit demain, au sommet de la tour Eiffel pour changer la face du monde…  

 

Charles brulait d’une rage sans pareille. D’un mouvement de canne le baron le fit se retourner et il pu apercevoir le visage encore plus dément du vieil homme alors qu’il se questionnait intérieurement sur le lieu de leur étrange rendez vous.  

 

- Au plus près du ciel pour ouvrir la porte des enfers mon ami… Paris est en ce moment le lieu idéal ... un million d'âmes pour nourrir mon armée de Démons…  

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Le Docteur Edwards est de retour et nous emmène cette fois ci dans un Paris au Faite de sa gloire, bondé de visiteurs de son exposition universelle de 1900. Réalisé par Carla Cerruti, c'est Daresha Mandown qui à écrit ce film! Au générique, on retrouve Toshio Okumura, Alona Cannon, Mickael Glau, Bayja Jezek, Enzo Vitali et Logan Mandown entre autre! La musique est l'oeuvre de Terry Fiedel! La mythique capitale française est exploitée dans des décors grandiloquents, entre la tour Eiffel transformée en porte de l'enfer et créatures mythiques c'est une aventure pleine de rebondissements et de mystères qui est proposée dans ce quatrième volet! "Dr Edwards et la Porte des Enfers", le nouveau film Fantastique proposé par Gérard Cousin Prod et ManDown Productions!

Scénario : (2 commentaires)
une série A fantastique de Carla Cerruti

Toshio Okumura

Alona Cannon

Mickael Glau

Bayja Jezek
Avec la participation exceptionnelle de Logan Mandown, Enzo Vitali
Musique par Terry Fiedel
Sorti le 19 mars 2027 (Semaine 1159)
Entrées : 26 140 669
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