[Film Interdit au moins de 18ans]  

Dans une ville naze, sous la nuit noir qui était d'une obscurité et d'une épaisseur d'encre, un homme suivait seul la grande prostituée au bord du trottoir.  

Des boutades malsaines dans la tête, il lui dit:  

Je suis d’humeur exécrable, je reviens de la manche...  

Elle lui répondit: "Pas parler, juste baiser..."  

Elle le serrait contre ses flancs, tantôt d'un coude, tantôt de l'autre, pour lui glisser au fond du caleçon .  

Il dit" je déclare ma flamme à ta main droite, je savais pas que tu .... oh oh"  

Quelques minutes plus tard.  

Tournant le dos au brasier, un silence se fit. L'homme, qui se sentait regardé d'un œil méfiant par la jeune reine de la purge, il songeait à lui, à son existence de vagabond, depuis huit jours qu'il cherchait une gâterie il s'était enfin fait vidé les berlines. Il s’assoit par terre,puis, il ne put résister au besoin douloureux de se chauffer un instant les mains, heureux de la purge mais les mains grasses , il regardait la sauvagerie muette, qui tâchais sont pantalon.  

Elle lui dit: " pour toi c'est gratuit, mais retourne vite maintenant"  

il fixa le vide de ses deux gros yeux éteints puis lui dit :  

"Où aller et que devenir, à travers ce pays affamé par le chômage? tu n'est pas lassée de laisser derrière moi ta carcasse de chien perdu?"  

Elle s’aperçut que sont petit clodo qu'elle purgeait à l’œil de temps en temps , soufrai de schizophrénie (non en fait elle le savait déjà)  

[Flash-back]  

Elle était là , une guirlande de fleurs rouges et bleues autour du coup, a tentez de rentrez chez elle dans ce dédale de rues étroites. La drogue l'avais embrumée , elle était perdue.  

C'est alors qu'elle tomba nez a nez avec lui , il gisais là sous un amas d'ordure mais les yeux ouverts.  

Il ce leva , l'agrippa et l’entraina dans soubassement du premier étage, en briques émaillées qui supportait mal le poids du temps.  

D'un geste brusque,il lui sorti alors sont glorieux colosse et dézingua la belle, comme jamais elle ne l'avais été auparavant.  

Des larmes de joies perlais des yeux de la belle , quant il l'a fista a 2 mains , puis il s’enfuit , la laissant là , seule avec sa brume , ne sachant plus vraiment où elle en est, encore moins qu'auparavent.  

A l'aube, elle fut réveillée par les bruits des maraichers qui venaient installés leurs étales richement garnies, elle tenta de ce hissé sur ses deux jambes , après quelque essais elle parviens enfin a ce mettre debout. Un simple regard sur ses guenilles, lui fit ce rendre compte de l'odeur pestilentielle qui ce dégageais de sa robe , cette nuit j'ai pas eu besoin de pousser pour faire caca ce dit elle juste avant de vomir ses boyaux . Le bruit de la gerbe semblai attirer des passants , ils viennent a la rencontre de la belle. Refusant catégoriquement de ce faire voir par qui que ce sois dans sont état, elle s'enfuit au gré des vents l'anus béant jusqu’à sont domicile en jetant négligemment les dernières guenilles qui l'a revêtait encore.