Adaptation des jeux, "God of War : Chains of Olympus" et "God of War".  

Attique brûle.  

Brûlée et pillée mais sauvée, si l'on peut dire.  

Un cri de douleur se fait entendre, non pas le cri d'un homme ou d'une simple bête ... mais le cri d'un monstre.  

Le cri d'un Basilic.  

Kratos (Oliver Parks) tient fortement une chaîne dans l'une de ses mains tandis que l'autre tient un glaive tordu, semblant être une arme redoutable. Le monstre perse ne cesse de se débattre, essayant de faire lâcher prise au spartiate, essayant de le faire valsé vers sa gueule. Soudain, le guerrier sparte tire de toutes ses forces sur la chaîne, hurlant de rage et le regard rempli de haine.  

Le Basilic ressent la douleur qui lui transperce le corps tandis qu'un craquement sourd se fait entendre, la chair explose littéralement autour de son cou. La douleur se fait de plus en plus forte pour la redoutable créature. Dans un énorme hurlement de douleur, la tête se détache du tronc !  

Kratos s'éloigne en marchant tandis que la tête du Basilic tombe lourdement au sol, le roi perse assiste à la scène, du sang coulant abondamment des plaies qui lui ont été affligées par le guerrier de Sparte. Dans une brève lutte, à l'avantage de Kratos, le roi de Perse avait été facilement battu et avait perdu son bras droit dans cette lutte. En voyant son bourreau revenir vers lui, le roi perse implore la pitié du spartiate, promettant maintes et maintes choses, avec la force du désespoir il réussit à se levé. Kratos s'arrête devant le roi, ce dernier pense que le terrible guerrier, vainqueur de son Basilic, est intéressé par ses dires. Il commence alors à rêver d'une domination perse avec l'aide du spartiate, le commandant de ses troupes, le héros de la Perse. Cependant Kratos n'a que faire de ces paroles pleines de mensonges et de désillusion, il le regarde fixement dans les yeux avant de donné un coup de glaive d'une rapidité déconcertante, le roi perse n'a pas le temps de réalisé qu'il a été décapité.  

Kratos sort alors de la cité grecque, "C'est tout ce que vous avez pour moi ?! N'y a-t-il rien d'autre ?!" hurle-t-il en fixant le ciel bleu ainsi que le soleil, s'adressant à Athéna et aux autres Dieux. Quelques secondes après ses dires, une détonation retentit, quelques secondes après, le soleil disparaît à l'horizon, plongeant le Monde dans les ténèbres. Une explosion eue lieue, envoyant une onde de choc jusqu'aux pieds de Kratos, qui observe la scène silencieusement, alors qu'un cri d'agonie, lointain, semble lui parvenir. Le guerrier sparte sait très bien qu'il ne s'agit nullement d'un signe des Dieux, "Quelle est donc cette folie ?" se demande-t-il tout en se dirigeant vers la lueur qui persiste à l'horizon.  

La Terre se recouvre doucement d'un voile noire qui engloutit tout sur son chemin, Morphée s'éveille à un Monde où lui et lui seul aurait le pouvoir.  

Sur le mont Olympe, le mont des Dieux, un silence de mort réside.  

Athéna (Jessica Aronosky) pousse une imposante porte en or avec une facilité déconcertante. La fille de Zeus est passablement énervée alors qu'elle s'avance dans les appartements de Arès (Hugh Carlson) qui affiche un sourire mauvais en la voyant qui avance vers lui, tandis qu'il est aisément installé dans un immense trône fait d'or et de pierres précieuses.  

Alors que la déesse de la sagesse est à quelques mètres de lui, il déclare sans affiché la moindre sympathie "Ma très chère sœur. Que me vaut ce plaisir ?", Athéna ne salue pas son frère, "Qu'as-tu fait ?" lui lance-t-elle avec un regard électrique.  

Bien entendu, Arès fait mine de ne pas savoir de quoi elle parle.  

Silencieuse, Athéna fixe intensément son frère avant de lâché, "Il devient de plus en plus fort, tu devrais commencé à craindre pour ta vie." tandis qu'elle s'éloigne.  

Les dires de sa sœur provoque un énorme fou rire de la part du Dieu de la guerre !  

Pourquoi donc devrait-il craindre Kratos ?  

Ce n'est qu'un humain !  

Arès se lève et avance vers un balcon donnant sur une vue imprenable de la Terre, il observe le guerrier sparte qui avance vers le temple d'Hélios tandis qu'il démembre les créature de Morphée une à une.  

En permettant à Morphée de plonger le Monde dans les ténèbres, Arès espère ainsi mettre fin au règne de Zeus et de prendre sa place. Ce dernier a interdit les Dieux de se battre explicitement entre eux.  

Il n'a rien à craindre d'Athéna.  

Cependant, cette phrase qu'elle lui a annoncé avant de quitter ses appartements viennent trouvé un sens désormais ... ce sens n'est autre que Kratos ! Elle se servirait de SA création contre lui ?!  

"Qu'elle essaye !" hurle-t-il à plein poumons.  

Kratos était un jeune commandant très respecté par ses hommes.  

Un jeune commandant très craint par ses ennemis.  

En multipliant les victoires sur les champs de bataille, Kratos était passé du commandement d'une centaine d'hommes au commandement d'un millier d'hommes.  

Mais toute gloire a une fin ... celle de Kratos devait trouvé effet lors d'une bataille qui devait stopper les barbares de l'Est, contre leur chef plus précisément. Mais le sparte refusait cette fatalité !  

Il voulait revoir sa famille, sa femme et sa fille Calliope.  

Alors que la hache du barbare était sur le point de séparé la tête de son corps, Kratos implorait Arès, le Dieu de la guerre, de lui venir en aide ... de l'aidé à remporté cette bataille, en échange de son âme.  

Et bien entendu, Arès avait répondu à l'appel de ce dernier en annihilant l'armée barbare et en fixant les lames du chaos, forgées dans les enfers, dans la chair des bras du spartiate qui décapita aisément le chef barbare.  

Kratos tient fermement les poignées de ses armes.  

Le cadeau que lui a fait Arès brûle constamment la chair de ses bras. Cette douleur lui permet de nourrir son envie de vengeance, lorsque les Dieux lui auront pardonné il se chargera du sort de Arès.  

Mais pour le moment, il devait dormir.  

Reprendre des forces.  

Hors durant son sommeil, Kratos revit toujours la même scène.  

Ce village qui vénère Athéna, en feu.  

Ces hommes qui massacrent tous les villageois, ... il se voit monté doucement les escaliers du temple, érigé à la gloiré d'Athéna, afin de s'occupé des derniers survivants qui se sont réfugiés à l'intérieur. Il revoit l'oracle du village (Greta Voss) qui le met en garde sur ce qu'il va trouvé à l'intérieur du temple ... mais ce dernier ne l'écoute pas. Poussant violemment l'oracle, il lui répond simplement qu'il n'a pas à écouté les idioties d'une folle.  

Kratos se revoit les mains couverts de sang, pleurant sa fille, Calliope (Caroline Baxter) qu'il vient de tué avec sa mère. L'oracle le maudit pour ses actes, sa fille et sa femme se sont décomposés dans les bras de Kratos et les cendres de ces dernières se sont collées à lui, changeant sa peau en blanc.  

Le faisant devenir le fantôme de Sparte.  

Kratos se réveille en sursaut, ce cauchemar le poursuit depuis ce jour funeste ... ne pouvant se réveillé qu'en ayant vécu l'intégralité du massacre. Ce jour là, il a tué sa vie.  

Celui qui a tout manigancé n'est autre que Arès. Afin d'enlevé le peu d'humanité qui résidait encore à l'intérieur du spartiate.  

Kratos se relève doucement tandis qu'il regarde attentivement le temple d'Hélios qui se trouve en face de lui.  

Une statue d'Athéna se tient à droite de l'immense porte d'entrée, le spartiate se trouve sur le char d'Hélios, ce char que les destriers de feu tiraient chaque jour dans le ciel, apportant l'éclat d'Hélios sur toute l'humanité.  

- "Kratos !", la statue d'Athéna, que le spartiate avait croisé, vient de prendre vie, la fille de Zeus s'en sert pour communiquer directement avec l'émissaire des Dieux.  

- "Athéna ? Athéna !  

Quelle est cette folie ?!" demanda le spartiate d'un ton autoritaire et las.  

- "Kratos.  

Le temps presse ... l'Olympe a besoin de toi." cette simple phrase poussa le spartiate dans une terrible colère, il s'approcha de la statue de la déesse d'un pas rapide.  

- "J'en ai assez des requêtes des Dieux, Athéna !  

J'ai assez donné !  

Alors reprends ces cauchemars qui me hante !" hurla-t-il en pointant la statue du doigt.  

- "Ce n'est pas à toi de décider lorsque ta servitude touchera à sa fin.  

Tu gagneras ta liberté.  

Un jour.  

Mais pour l'heure, l'Olympe a besoin de ton obéissance totale.  

Le Dieu du soleil a été arraché au ciel. Ce temple, sur lequel tu te tiens, est le char d'Hélios. Sans leur maître pour les tenir, les destriers de feu ont précipité le char sur la Terre. Et sans Hélios, Morphée a le champ libre pour s'emparé du pouvoir !  

Nombre des Dieux ont été plongés dans un profond sommeil. Bientôt, tous auront succombé à la sombre emprise de Morphée."  

Kratos semble être calmé, un minimum, pour demander ce que Athéna attend de lui, ce à quoi elle répondit qu'il doit retrouver Hélios et le renvoyé dans les cieux avant que le monde des hommes et des Dieux ne soit perdu ... car seule la lumière de ce dernier peut faire lâché prise à Morphée.  

Athéna est assise dans ses appartements.  

Pensive.  

Elle sait que cette quête sera difficile pour Kratos.  

Il n'y survivra peut-être pas.  

Mais si jamais il viendrait à survivre, alors le règne de Arès en tant que Dieu de la guerre sera mis en péril.  

Quelqu'un devra punir Arès pour ce qu'il a fait, bien que Zeus ne consente pas à des affrontements directs entre Dieux. Kratos, elle en est sûr, sera prêt à tout pour se chargé du Dieu de la guerre.  

Si il survit à cette quête, combattre Charon puis Perséphone sera très éprouvant pour le fantôme de Sparte, elle pourra se servir de cette soif de vengeance afin de mettre fin à la vie de son frère. Hors, pour ce faire il devra partir à la recherche de la boîte de Pandore, enfermée au fond du Temple de Pandore, que le Titan Cronos est condamné à porter sur son dos dans les tourbillons de sable du désert des Âmes Perdues. Pour se faire il devrait survivre aux chants envoutants des sirènes ainsi qu'au redoutable Minotaure qui garde la salle où est enfermée la boite.  

Une autre quête, qui se révèle être tout aussi difficile ... mais Kratos veut le pardon des Dieux.  

Il le fera.  

Il n'a pas le choix.  

Charon (Gustallin Robloche) rame doucement sur le Styx, à sa droit est allongé Hélios (Lucas Segel).  

Tandis que l'immense barque de Charon remonte le Styx, sur l'autre rive se trouve un gigantesque temple, orné de deux tours à chaque extrêmité, construit par Hadès pour son épouse, Perséphone (Jessica Foster) qui joue une douce mélodie avec un ocarina. En neutralisant Hélios avec l'aide de Arès, elle a pu plongé le monde dans les ténèbres, la femme de Hadès regarde par la fenêtre de sa tour en continuant à joué la douce mélodie. Elle a libéré le Titan Atlas (Michael Cannon) de ses chaînes, ce dernier frappe intensément le pilier du Monde, cherchant à le détruire et fasse s'écrouler autant le monde des humains que celui des Dieux, mettant fin à toute forme de vie. C'est la vengeance de Perséphone pour avoir été condamnée à devenir l'épouse du roi des enfers !  

La reine des enfers cesse de joué l'instrument lorsque Charon entre doucement dans la pièce en portant Hélios sur son dos. Il dépose lourdement le corps inanimé du Dieu du soleil avant de donner, à sa reine, des indications sur l'avancée de Kratos.  

Perséphone semble frustrée, le passeur du Styx lui demande alors ce qu'elle compte faire si jamais il arrive jusqu'à elle, "Je lui laisserai le choix." déclare-t-elle doucement avant de faire venir une petite fille auprès d'elle, "Le choix ? questionne un Charon assez perplexe, "Le choix entre sa fille et le Monde." répond simplement Perséphone en fixant Atlas avec un sourire mesquin.