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Gérard Cousin Prod présente
Subhumans

Ce que les hommes appellent civilisation, c’est l’état actuel des moeurs et ce qu’ils appellent barbarie, ce sont les états antérieurs. -. Anatole France  

 

Générique: https://www.youtube.com/watch?v=mck53Yn7u-A  

 

-New York, USA, 1983- Diana Mayers (Evalena Sweet) ressort du bureau de son rédacteur en chef: C'est pas encore aujourd'hui qu'elle va enfin sortir de la rubrique des "chiens écrasés" et autres faits divers. Jeune journaliste pleine d'entrain, rêvant à de grands reportages, elle se retrouve dans un canard certes prestigieux mais où elle est cantonnée à un rôle des plus modestes. C'est ça de vouloir "percer" sans avoir les réseaux et où coucher...  

Diana a demandé à couvrir la chose dont tout le monde parle: Les disparitions étranges de pas mal de personnes depuis quelques semaines. Hommes, femmes, enfants, il y a des gens qui disparaissent comme ça, sans raison et on ne retrouve ni corps ni rien. Certains parlent d'un tueur en série mais les autorités n'écartent aucune hypothèse...  

Suite à sa demande de couvrir ça, le rédacteur a dit à Diana: -"Ces disparitions, c'est pour les "vrais" journalistes, pas pour vous..."  

Agréable comme compliment, n'est-ce pas? Et il a orienté Diana vers un fait divers des plus misérables, à savoir une "rixe" entre le directeur d'un refuge pour toxicos et un groupe de jeunes! Super et très palpitant comme sujet! Diana en a un peu marre de ce genre de truc: Elle va traverser la ville pour recueillir l'avis du directeur du refuge, faire un papier que personne ne lira et voila. Elle passe vers son bureau et jette un oeil sur la tv allumée que regarde certains de ses collègues. A l'écran, un Noir, l'inspecteur de police en charge de l'affaire, essaye d'esquiver les questions des journalistes affirmant en boucle:  

-"Un point presse va être organisé, vous saurez tout à ce moment-là!"  

Diana se dit que ce type est "chanceux" de se retrouver sur une telle affaire!  

 

L'inspecteur Dan Ortega (Axel Winthorp) s'estime tout sauf chanceux: Cette affaire de disparition est un casse-tête: Pas de "mode opératoire", pas de cadavre, rien du tout! C'est comme si ces gens n'avaient jamais existé! Dan est un flic chevronné, il a vu pas mal de choses durant sa carrière mais là, il n'y comprend rien! Au début, certains pensaient effectivement à un tueur en série, un taré qui prend son pied à enlever et à tuer ses victimes. Mais même les types du FBI ne croient pas à cette hypothèse, trop de trucs qui collent pas. Dan aurait bien aimé que ces empaffés Fédéraux reprennent l'affaire mais ils ont préféré la laisser au NYPD, comme un bâton merdeux qu'on se refile sans vouloir s'en charger.  

-"Dan! Un mec vient de signaler la disparition de son épouse!" Le flic secoue la tête et remercie son collègue de l'info. Putain d'affaire!  

 

Diana est face au refuge pour toxicos: Minable, abimé peu accueillant, c'est vraiment pas la joie. En voyant les hommes et les femmes, parfois jeunes qui fréquentent le centre, cela fait de la peine à la jeune femme: Souvent elle a coutume de dire qu'elle est tout sauf "chanceuse" dans la vie...  

Si elle n'est pas "chanceuse", que dire de ces pauvres bougres alors? Le directeur est un gros type à l'air libidineux, pas sympathique pour un sou. Sur son visage et sur ses bras, il porte les stigmates de l'affrontement de la veille. Il accueille Diana avec courtoisie dans son bureau. Pressée d'en finir, elle rentre dans le vif du sujet:  

-"Pourquoi ces jeunes vous ont agressé?"  

Le directeur du centre explique que bien souvent, il a des problèmes avec des groupes de jeunes, en manque qui veulent qu'une seule chose, venir au refuge et s'en servir comme d'un hôtel ou d'un dealer en version gratuite.  

-"Sauf que cette fois, ça n'avait rien à voir!" déclare le directeur. En effet, le groupe de jeunes a déboulé en pleine nuit, complétement terrifié et voulant rentrer, de force s'ils avaient pu, dans le refuge!  

-"La plupart ne veulent pas venir, ils ont peur qu'on les balance aux flics ou ce genre de chose... Mais là, vous auriez dû les voir mademoiselle Mayers! Ils étaient dans un état second, couverts de sang, dans un état de peur... Certainement ils se sont battus lors d'un mauvais trip..."  

Une fois tout noté, Diana se presse de quitter le bureau de ce type dont le regard qu'il pose sur elle la gêne et la dégoute profondément...  

A son avis, il ne fait pas bon être une fille dans ce refuge avec un tel directeur...  

En quittant le centre, la neige se met à tomber et Diana a l'impression d'être "suivie", une sensation désagréable s'il en est...  

Finalement, lorsqu'elle arrive vers sa voiture, elle se rend compte que c'est une jeune femme brume aux vêtements dans un triste état qui la suit.  

-"Je... Je peux vous parlez?" dit-elle, presque craintive. Diana hoche la tête:  

-"Bien sur!"  

 

Dan a rencontré l'homme dont la femme a disparu: En plein jour! Déjà que les gens commencent à avoir peur de sortir la nuit, lorsque les médias révéleront cette disparition "de jour", y'a de grandes chances que ça fasse du bruit...  

Le mari lui a expliqué que son épouse était allée à l'épicerie qui est à deux pas, le caissier l'a vue et elle a quitté la boutique pour rejoindre l'appartement...  

Sauf que sur ce trajet très "court", elle a disparu...  

Dan est allé voir lui même, a fait le trajet pour voir: C'est effectivement très court, à découvert et...  

Dan voit un sac de course qui s'est vidé au sol, à moitié dans la boue du chantier. Il s'avance et regarde les ouvriers s'activer, les machines roulantes...  

Dan demande ce que c'est et c'est l'un de ses collègues en uniforme qui lui dit:  

-"C'est le chantier de la future ligne du métro! C'est un sacré truc que la ville est en train de faire là!"  

Dan ne répond pas: Il se moque éperdument de ce chantier, il cherche juste à comprendre cette nouvelle disparition...  

 

Le Dr Thomas Anderson (Alec Lederman) est passablement agacé: Éminent professeur à l'Université de New-York, docteur en biologie et en médecine, il n'est pas homme à apprécier être "sifflé" par la police pour venir illico presto à la morgue. Une jeune flic en uniforme le salut et dit:  

-"Monsieur..."  

Thomas corrige:  

-"Docteur!"  

La jeune hoche la tête:  

-"Docteur! On a besoin de votre avis sur... Sur quelque chose! C'est le bureau du maire qui nous a demandé de vous appeler!"  

Thomas est effectivement proche du bureau du maire, politiquement et financièrement mais cela n'explique pas la raison de sa venue dans cette morgue...  

En quoi un spécialiste en biologie et en médecine pourrait être utile? Il y a certainement de talentueux légistes ici...  

Il est conduit par la jeune flic devant le légiste, accompagné du conseiller du maire. Thomas le salut et lui demande la raison de sa venue. Le conseiller répond juste:  

-"Le maire espère que tu sauras ce que c'est que "ça"!"  

Le légiste ouvre l'un des casiers mortuaire et présente un corps tordu, atrophié par endroit, mais dont les muscles sont surdéveloppés. Le visage de cette chose est horrible, grimaçant, les yeux et les paupières semblent ne faire plus qu'un. Le tout dégage une odeur écoeurante, due à la décomposition mais pas seulement...  

La jeune flic quitte précipitamment la salle pour vomir pendant que Thomas, son mouchoir devant le visage, ne peut détacher les yeux de ce cadavre. Le conseiller dit que ça a été trouver sur l'un des chantiers de l'extension du métro. Thomas demande: -"Qu'est-ce que c'est?"  

Le conseiller fait signe au légiste pour qu'il rentre le corps dans le casier.  

-"C'est justement pour découvrir ça que le maire t'a demandé de venir..."  

 

Becky (Nora Jachowicz) est attablée face à Diana, une tasse de café devant elles, toutes deux parlent de tout et de rien avant que la jeune junky décide d'aborder le pourquoi elle a voulu parler à la journaliste:  

-"J'étais avec le groupe qui a attaqué ce porc de Dilkman!" Diana découvre que Dilkman, le directeur du refuge est un gros dégueulasse se laissant aller à ses plus bas instincts sur les pauvres filles qui cherchent un refuge...  

-"Mais avec les copains, on préférait ça plutôt que de finir comme Abe et les autres!"  

Abe était un toxico comme Becky et ses potes. Tous squattaient des tunnels désaffectés du métro, reliés aux égouts.  

-"Faut pas avoir peur des rats mais c'est toujours mieux que d'être dehors!" dit la jeune femme brune comme pour se justifier, un sourire triste sur le visage.  

-"Enfin ça, c'était avant!"  

Il y a quelques jours, il s'est passé un truc des plus bizarre: Alors que le petit groupe était tranquille et au chaud, des bruits se sont fait entendre: Des cris, des hurlements de bêtes, venant non-pas de l'extérieur mais des tunnels eux-mêmes! Diana se demande si Becky n'a pas abusé des substances illicites...  

-"Ces "choses" ont débarquées en hurlant, armées d'armes de fortune..."  

Crochets, haches, pelles, simple morceaux de métal, elles ont attaquées le petit groupe de junky, se déchainant avec une violence inouïe...  

-"Moi j'ai pu fuir avec certains de mes potes, d'autres ont pas eu cette chance..."  

Ces "choses" ont tué certains des junkies et en ont pris d'autres avec eux.  

-"Quand tout c'est calmé, on est aller voir: Les cadavres avaient été emmenés et seul le sang au sol et sur les murs prouvait qu'on avait pas imaginé tout ça..." Becky explique que c'est pour ça qu'ils ont décidé d'aller au refuge, pour se mettre à l'abri! Malgré le fait que Dilkman soit un porc: Mieux vaut se faire baiser que de se faire massacrer aussi horriblement que Abe et les autres...  

-"Et personne ne s'est inquiété de la disparition de tes amis?" demande candidement la jeune journaliste. Becky hausse les épaules: Qui s'intéresse à ce que deviennent des junky, des marginaux? Diana se dit que c'est n'importe quoi cette histoire de "choses armées" mais Becky lui fait de la peine...  

-"T'as un endroit où dormir?"  

La jeune junky secoue négativement la tête...  

-"Viens avec moi!"  

Alors que Diana et Becky sortent du café, il fait déjà nuit. Et de l'autre coté de la rue, dans une ruelle sombre, une silhouette massive passe alors qu'elles montent en voiture...  

 

L'enquète de Dan n'avance pas d'un iota. Dans son bureau, une carte répertoriant tous les endroits où une disparition a été signalée. Un peu partout dans la ville...  

Alors qu'il s'allume une clope, rien à foutre que ce soit interdit dans les locaux, il regarde la carte, essaye de trouver un lien, de trouver quelque chose...  

Quand il se rend compte d'une chose: Les disparitions ont lieu vers les chantiers du métro! Il regarde sur son ordinateur pour s'assurer qu'il ne fait pas fausse route mais non: La quasi-totalité des disparitions ont eu lieu non-loin de ces chantiers! Simple coïncidence? Le flic n'y croit guère...  

 

Diana réfléchit à ce que Becky lui a dit: Bien sur, ça n'a aucun sens, c'est "fou" mais... Et si cela était vrai? Alors que l'esprit de la jeune femme vagabonde, Becky arrive dans le salon, vétue d'un peignoir et sortant de la douche.  

-"Merci..." dit juste la junky. Diana l'amène à la chambre d'amis, qu'elle a préparée, et laisse Becky se reposer. La jeune femme brune hésite puis prend Diana dans ses bras.  

-"Merci... T'es la première personne depuis longtemps à sembler t'intéresser à moi..."  

Lorsque la journaliste retourne dans le salon, s'allumant une cigarette, elle se dit qu'elle ne peut que ce sentir concernée par les malheurs de Becky car elle se voit au travers de la jeune junky, ça aurait pu être elle...  

 

Dan, une fois de plus, se retrouve dans une impasse pour son enquête: Si il a pu vérifier le fait que tout semble lié aux tunnels du métro, il a bien envie d'y descendre histoire de voir par lui-même.  

-"Ce fils de pute doit utilisé les tunnels qui ne sont pas encore en service!"  

Il se lève, attrape sa veste et quitte son bureau à la recherche de son équipier: Il veut en avoir le coeur net!  

 

Diana est silencieuse lors du petit-déjeuner: Elle n'a eu de cesse de penser à ce que lui a dit Becky...  

Et à dire vrai, elle aimerait en savoir plus même si c'est complétement dingue!  

-"Becky... Est-ce que tu pourrais me conduire là où ces "choses" vous ont attaqués?"  

La jeune junkie est troublée et ne sait que répondre, le souvenir de ce "cauchemar" étant encore très présent à son esprit...  

Diana, de sa voix la plus douce lui dit:  

-"Cela a peut-être un rapport avec la vague de disparition... Si il y a quelque chose sous nos pieds, on doit le découvrir pour mettre au courant la population et les autorités..."  

Becky hoche la tête: Oui, c'est ce qu'il faut faire...  

-"Je vais t'y conduire..."  

 

Thomas enlève ses lunettes et se frotte les yeux: Ce qu'il a découvert sur cette "chose" est tout bonnement inimaginable! Surtout qu'il n'y a nul doute possible: C'est "humain"...  

Enfin presque! Le corps de ce cadavre a "évolué" comme pour s'adapter à des conditions particulièrement "rudes". Les yeux en sont l'exemple parfait: Cette "chose" doit être complétement aveugle. Mais en examinant le cerveau de cette chose, il y a fort à parier qu'elle peut parfaitement se mouvoir au son. En regardant les données recueillies, Thomas se dit qu'il est en face d'une "sous-espèce" d'humains, des "sous-humains" ayant évolués en marge du reste du monde, comme contraints et forcés...  

 

Diana marche aux cotés de Becky alors qu'elles s'approchent de l'entrée de ce qui semble être un conduit menant aux tunnels désaffectés du métro. Diana a sur elle le flingue que son oncle, un taré pro-NRA, lui avait offert y'a des années. Juste au cas où... Et pour la première fois de sa vie, la jeune femme est contente d'avoir une arme sur elle. Les deux filles pénètrent dans les tunnels, froids, humides, terrifiants. Becky semble de plus en plus terrifiée. Finalement, elles déboulent sur les lieux du carnage: Le sang sur les murs et au sol a séché mais est bien visible...  

Diana a une boule au ventre en voyant ça: L'attaque semble avoir été des plus "sauvage", exactement comme Becky l'a décrite...  

-"Ils sont arrivés par là..." pointant du doigt l'un des morceaux effondrés du tunnel, ouverture béante assez grande pour laissé passer deux hommes. Soudain des hurlements inhumains se font entendre, glaçant le sang des deux jeunes femmes...  

-"Faut qu'on file, Diana!" dit la junkie. Mais la journaliste attrape son arme et s'approche de l'ouverture béante.  

-"Il faut que j'aille voir!" déclare-t-elle malgré sa peur.  

-"Retourne à la voiture!"  

Mais Becky, bien que terrifiée elle aussi, ne veut pas laisser Diana y aller seule. Toutes deux s'avancent dans le conduit humide et froid, la lampe-torche de Diana focalisée sur les traces de sang, comme si ces "choses" avaient trainé les cadavres derrière eux. Diana tient fermement son flingue tout en avançant, son coeur battant de plus en plus vite alors que les hurlement reprennent... Soudain, une ombre passe devant elle: A la lumière de la torche, les deux filles voient un être difforme armé d'une sorte de tuyau de métal pointu.  

-"C'est "ça"..." murmure Becky. Diana se rend compte que la lumière ne semblent pas déranger cette chose, comme s'il ne la voyait pas...  

Dans les ténèbres, Diana voit plusieurs autres de ces choses, visiblement occupé à se disputer quelque chose...  

Ce qui provoque ces hurlements. La journaliste découvre l'objet de la discorde: Un tronc humain! Elle lâche sa torche qui tombe lourdement au sol...  

A ce moment précis, ces choses s’arrêtent et viennent dans leurs directions, humant l'air comme à la recherche de quelque chose... Soudain, celui au tuyau de métal pointu l'abat lourdement en direction de Diana, qui l'évite de justesse! Elle pointe son arme vers lui et tire! Le coup de feu se répercute sur les parois et plusieurs de ces choses foncent immédiatement dans la direction des deux filles! D'autres arrivent par derrière! Diana décide de foncer, attrape la main de Becky et tirant pour se frayer un passage! Ces choses hurlent, abattent leurs armes de fortune au sol ou frôlant les deux femmes! C'est une course effrénée pour Diana et Becky, s'enfonçant toujours plus profondément dans les profondeurs des tunnels, traquées par ces "choses". Elles arrivent dans une zone plus vaste, une station de métro désaffectée. Des cris se font entendre, des cris de femme cette fois...  

Diana et Becky avancent, se rapprochent de l'origine de ces cris...  

Et elles découvrent quelque chose d'horrible: L'une de ses "choses" en train de violer cette pauvre femme! Diana, sans trop réfléchir, tire sur la chose, vide son chargeur...  

La femme continue de hurler alors que de nouveaux "sous-humains" déboulent, attirés qu'ils sont par les tirs et les cris. Becky aide la pauvre femme à marcher alors que Diana engage son dernier chargeur dans son arme. Son regard et sa lampe se pose sur le nom de la station: Elle sait où elles sont!  

-"Par là!"  

Elles foncent, traquées par ces "choses". L'une de ces choses leur bloque la route et abat une sorte de pelle avec violence, fracassant en deux le crâne de la femme, éclaboussant Diana et Becky de sang, de morceaux d'os et de cerveau! La journaliste tire, vide son chargeur sur la "chose" sans grand résultat. A "sec", Diana et Becky se retrouvent acculée, face à l'une de ses choses, s’apprêtant à abattre sa pelle sanguinolente sur les deux jeunes femmes...  

 

Dan et son équipier s'enfoncent dans les tunnels, tout en se demandant s'ils ne font pas "fausse route". Mais Dan est sur qu'il y a un indice, que le tueur a fait une erreur! Mais pour l'instant, il n'y a rien...  

-"Dan! C'est vraiment une idée à la con!" dit son équipier. Dan est pas loin de penser la même chose lorsque des cris de femme retentissent dans les tunnels! Les deux flics sortent leurs armes et tentent de se repérer dans le dédale des tunnels. Ils foncent mais à ce moment précis, la tête de l'équipier de Dan est tranché d'un coup sec par une "chose", difforme, hurlante...  

Le flic tire mais cela n'a pour effet que d'en attirer d'autres! La fuite de Dan se poursuit alors qu'il arrive dans ce qui semble être une station de métro désaffecté. Il se cache et attend que ces poursuivants passent.  

-"C'est quoi ces putains de trucs?" se demande-t-il. A ce moment précis, Dan entend des tirs: Il se dit qu'il y a peut-être quelqu'un d'autre de piégé ici? Il décide d'en avoir le coeur net! Il va dans la direction des tirs et découvre deux jeunes femmes, dos au mur, l'une de ces choses s’apprêtant à les tuer! Dan vide ses dernières balles en pleine tête du "monstre" qui s'écroule au sol. Diana et Becky sont ravies de voir un "humain"...  

Surtout avec un flingue! Dan dit:  

-"Faut se barrer d'ici!"  

Diana, Becky et Dan foncent dans les tunnels, poursuivis par les "sous-humains". Alors que le petit groupe s’apprête à sortir, voyant la lumière du dehors, l'une de ces "choses" plante son tuyau dans le dos de la pauvre Becky. Elle perd beaucoup de sang et Dan et Diana la tirent pour quitter ces maudits tunnels. Une fois dehors, sur le chantier entourés d'ouvriers, Dan hurle d'appeler la police!  

 

Diana est dans le couloir de l’hôpital, attendant des nouvelles de Becky. Dan vient la voir, tenant deux cafés.  

-"C'est complétement fou..."  

Le flic ne dit rien mais il est d'accord. Un jeune flic en uniforme vient trouver Dan: Le Maire veut qu'ils prennent contact avec le Dr Thomas Anderson. Mais surtout, il ne veut pas que cette affaire "s'ébruite".  

 

Dans son bureau, Thomas écoute les récits de Dan et de Diana. Cela corrobore ses conclusions après l'autopsie du "sous-humain" de la morgue. Et comprend le lien avec les disparitions.  

-"Ces "sous-humains" ont évolué coupés du monde, probablement dans un incident minier, un groupe d'hommes, de femmes et d'enfants piégés dans les profondeurs pendant peut-être un siècle ou deux et qui ont "évolué" physiquement mais "régressé" humainement. Pour qui la "survie est devenue un mode de vie... Ce qui pour nous s'apparente à de la "barbarie" est juste, pour eux, un moyen de survivre."  

Ce que Diana ne comprend pas, c'est pourquoi ils ne s'étaient pas manifestés "avant" si cela fait longtemps qu'ils sont coupés du monde? Dan déclare que c'est peut-être dû à l'extension du métro: C'est un vrai gruyère en dessous depuis que les travaux ont débuté!  

-"Ils étaient "piégés", les travaux ont dû les libérer..."  

Diana demande la raison de leur comportement: Que veulent-ils? Pourquoi agissent-t-ils comme ça? Thomas répond juste:  

-"Ils cherchent ce qui est nécessaire à leur survit: De la nourriture et un moyen de se reproduire..."  

Diana, Dan et Thomas se regardent avant que la journaliste ne dise:  

-"Comment on les arrête? Car s'ils se répandent dans la ville, on aura un vrai problème..."  

Dan et Thomas en sont bien conscients mais n'ont aucune solution...  

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Film d'horreur, "Subhumans" est le film représentant Gérard Cousin Prod au "3eme Festival International du Film d'Horreur de Gérardmerveille"! Réalisé par Alessandra Gira de retour derrière la caméra après une pause dans sa carrière, on trouve au générique de ce série B Evalena Sweet, Axel Winthorp, Alec Lederman et Nora Jachowicz entre autres! La musique, oppressante et angoissante, est l'oeuvre du toujours talentueux Ray Halligan! "Subhumans", le nouveau film d'horreur de Gérard Cousin Prod.

Scénario : (2 commentaires)
une série B d'horreur de Alessandra Gira

Axel Winthorp

Evalena Sweet

Alec Lederman

Nora Jachowicz
Musique par Ray Halligan
Sorti le 29 octobre 2033 (Semaine 1504)
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