Film réalisé par Jodie Mendel  

Dans le rôle de Mathieu Majastre Max Bellis  

Dans le rôle de Manon Saint Paul Stephanie Illsley  

Produit par Moisy Production  

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Après avoir résolue l'affaire précédente et mis de côté celle qui se faisait passer pour sa sœur Manon Saint Paul reprend les rênes de sa vie et décide de se couper de ses collègues de la DPJ et de partir s'exiler en Bourgogne ou personne ne la connait et elle ne connait personne. Pendant ce temps, sur Paris, une affaire dramatique éclate. Celle de la prise d'otage d'un individu instable dans une salle de CP dans une petite école parisienne. 28 enfants sont pris en otage ainsi que la maîtresse. Le commissaire Fred décide d'appeler le RAID afin que les négociations pour libérer les otages puisse commencer. Vingt minutes plus tard le RAID arriva sur place avec un négociateur de la préfecture de police et la discussion pu commencer. Le preneur d'otage demanda a parler à l'équipe qui a enquêté sur le meurtre il y a 4 ans de sa sœur dans un parc parisien, mais surtout à la psychologue qui était chargé de l'affaire Frediani.  

Mathieu prit donc l'initiative et la charge de se présenter à cet individu qui se nommait Marc Frediani. Mais il ne voulait parler qu'à Manon qu'il tenait responsable du non-lieu de l'affaire. Pour lui elle a mal interprété le profil du tueur. Les négociations étaient au beau fixe.  

De l'autre côté de la France Manon découvre la prise d'otage à la radio et le journaliste prononce ces mots "Le preneur d'otage veut parler à Mme Saint Paul sinon il menace de tuer tous les enfants présents avec lui". Ni une ni deux Manon décida de faire demi-tour et d'aller régler ce qu'elle pensait être sa dernière affaire.  

Deux heures et demi plus tard, après avoir roulé la majorité du temps au maximum que sa petite voiture le lui permettait elle arriva sur les lieux de la prise d'otage. Elle créa la surprise générale en arrivant toute essoufflée. Elle alla voir Mathieu qui était revenu de l'école. Et lui dit:  

"Je suis là je vais aller le voir et savoir qu'est ce qu'il veut pour libérer les enfants et la maîtresse qui n'ont eu rien demandé même si je dois être otage à leur place. Je m'en fous j'ai plus rien à perdre". Et elle partit en direction de l'école et rentra dans la salle de classe les mains en l'air et dit au preneur d'otage:  

"Si c'est moi que vous voulez je viens mais relâchez les enfants et la maîtresse."  

Une discussion s'engagea et 5 minutes plus tard la moitié des enfants étaient sortis de la pièce. Il ne restait plus que 14 enfants, la maîtresse et Manon.  

La longue négociation continua pour tenter de libérer les otages, mais cette fois-ci ce n'était plus le négociateur mais Manon avec son oreillette qui était relié au négociateur qui faisait office de négociatrice. Avec cette méthode elle réussit à faire extraire un à un tous les enfants et la maîtresse. Mais lorsque le dernier enfant sortit l'homme aperçu les hommes en noir et tira à une reprise en direction de Manon, un tire lui fut porter pour le neutraliser. Il fut interpellé par le RAID et fut transféré à la 3ème DPJ pour son audition. Manon n'était que choqué parce qu'elle avait enfilé un gilet pare-balle qui cette fois-ci lui sauva la vie. Mais elle fut surtout préoccupée par les mots de cet homme qui parlait d'une de ses anciennes affaires sur laquelle il aurait faits une erreur judiciaire ce qui lui ai inconcevable. Elle décida de faire des pieds et des mains afin de pouvoir réétudier cette affaire et si cela l'était nécessaire rouvrir. Ce qui ne fut pas du goût de ses supérieurs. Elle le fit donc en cachette. Et décida d'émettre ses doutes au commandant, ils fut du même avis et suivit son idée, il mit l'équipe sur le coup mais dans le dos de sa hiérarchie et dans la plus grande discrétion.