L’argent. Par-dessus toutes les valeurs préconisées par l’homme l’argent est la première. Si vous demandez à n’importe quel individu ce qu’il désire le plus, il vous répondra de l’argent. Qu’il soit capitaliste, communiste, environnementaliste ou pacifiste, l’humain est attiré par l’argent comme du métal à un aimant. Pour s’assurer d’en posséder le plus possible, les gens sont prêts à se lancer dans les plus grandes bassesses: emploi humiliant, exploitation de travailleurs, vol, fraude et meurtre.

Stanley Rize (Barcley Wryn) en est à cette dernière étape. Il a vite comprit que l’industrie du meurtre était très rentable. Offrant ses services à n’importe qui, il a fait dans l’assassinat de basse cours jusqu’aux massacres de masse, en passant par les meurtres de politiciens de toutes sortes. On peut dire qu’il est une véritable machine à tuer, surtout lorsqu’on sait qu’il a son propre jet privé, sa villa aux Bahamas et une centaine d’employés à son service. Mais la concurrence est féroce sur le marché. Une certaine Stacy Withmore (Cristina Glau) récolte de plus en plus de contrats d’importance. On vante son efficacité et sa capacité de « production » exceptionnelle partout où Stanley passe.

Lorsque celui-ci apprend qu’un contrat de massacre de réfugiés Cambodgiens à été octroyé à Stacy plutôt qu’à lui, Stanley est hors de lui. Les pertes monétaires sont énormes. Il lui faut mobiliser ses hommes et éliminer la concurrence au plus vite. Mais l’homme étant à vendre, Stanley découvrira vite que la loyauté de ses employés n’est pas ce qu’il croyait, qu’ils ont peut-être trop bien appris la leçon qu’il leur a enseignée…